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 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite...

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M. Caroline Campbell

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    M. Caroline Campbell

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J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... _
MessageSujet: J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite...   J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Icon_minitimeSam 11 Déc - 2:41

J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472029-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... 004chdzb J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472026-100-100

‘‘Un des plus grands bonheurs de cette vie, c'est l'amitié ; et l'un des bonheurs de l'amitié, c'est d'avoir à qui confier un secret. ’’

Mauvaise nuit, mauvaise vie, maudit zombie. A croire que le sommeil n’était plus un état auquel j’avais le droit. Certes, Joshua se torturait assez pour que je puisse dormir comme il le faut, certes… Mais je n’arrivais pas à fermer l’œil pour autant, à croire que j’aimais me torturer pour un rien. Certes, il m’était rare d’avoir peur à l’heure d’aujourd’hui, je savais me battre, je pouvais les tuer à tout moment, j’en avais la capacité et l’état d’esprit. Mais, j’avais toujours cette peur à l’estomac et cela depuis trois ans maintenant, qu’une fois les yeux clos, ils attaqueraient – par ils, j’entends ces zombies - qu’ils essaieraient de tuer mon frère. Il est vrai que désormais, nous étions trois… Une aubaine pour trouver le sommeil plus facilement, je le conçois… Mais… Je n’y arrivais pas pour autant, maudit état de conscience qui m’empêchait de m’assoupir convenablement. Tout ça pour en revenir à cette nuit, cette affreuse nuit, où tranquillement blottit dans les bras de mon frère, je fixais un point devant moi, luttant contre l’envie de fermer les yeux. Il dormait… Joshua, ne tenant presque plus. Qu’il en soit ainsi… J’aimais entendre sa respiration et le bruit bien particulier de son ronflement. Il me faisait rire, il était vivant, le reste ne comptait plus. Je luttais contre ce sommeil qui m’assaillit de toute part, je luttais contre le ronflement rythmé de mon frère, quand il arriva… Petterson ! Ezeckiel pour mon frère, notre nouveau compagnon pour nous tous. Sa présence près de nous était un bien fou, vivifiant de ce savoir entouré d’humain, même s’ils se comptaient sur les doigts d’une main. J’espérais toujours que nous soyons de plus en plus nombreux, que quelque part se cachaient des humains, luttant contre ses monstres. Ils existaient, nous n’avions pas encore mis le pied dans ce lieu qu’ils appelaient la zone, mais nous savions qu’elle existait. Quel qu’il soit… Il arriva, s’installant en face de moi, me fixant de son regard poignant. Il me transperçait de toute part, je n’aimais pas quand il agissait de la sorte, aucun mot, aucune expression, juste ce regard sur moi, cette sensation parcourant mes entrailles et ce souvenir de notre rencontre et ce baiser. Pourquoi avoir fais une chose pareille, alors qu’il me rencontrait pour la première fois. Je ne le voulais pas avec nous, je ne voulais pas partager notre route avec cet inconnu, mais Joshua avait confiance en lui, il avait trouvé en lui un compagnon de voyage, moi qui n’était que la touche féminine du groupe. Baliverne ! Je n’étais plus une femme depuis longtemps, quoique tous les mois mes hormones me ramenaient à la dure réalité de trouver des tampons. Bref… Il voyageait avec nous, il me fixait… J’en avais la chaire de poule et s’il venait à nous tuer durant notre sommeil ? Non…

Aussi stupide que cela puisse paraitre, j’avais confiance en lui, allez savoir pourquoi ? Surement sa taille imposante, ou son physique de footballeur, que sais-je. Le fait est qu’il soit avec nous, pour un bout de temps et que je me sentais capable de tuer tout zombie qui tournerait autour de lui. Je n’étais plus que cela une machine à tuer, perdant mon humanité un peu plus, je ne voulais plus me regarder dans un miroir ayant l’entière conviction de n’y voir qu’un monstre. « Regarde ailleurs Petterson, sinon tu risques d’embrasser mon flingue. » Chuchotais-je sérieusement tout en fixant Ezeckiel de mon regard qui en disait long. Il me fixa, sourit naturellement avant de dire… « Bonne nuit Caro, je veille ce soir… » Foutaise ! Comme si j’étais assez stupide pour me laisser aller auprès de Morphée alors qu’il était le seul à veiller. Sauf que mon sommeil se fit plus présent et mes yeux furent divinement lourds, ne pouvant lutter. Cette nuit-là, je m’endormais comme un petit bébé, d’où ma mauvaise humeur. J’avais cette fois-ci fait preuve de faiblesse en m’endormant et c’est pour cette raison qu’au petit matin, je me levais tôt, afin de chercher de quoi nous nourrir. Ils n’aiment pas cela, Ezeckiel et Joshua, que je sorte seule dans ce monde rempli de créature. Certes… Ils n’avaient pas tord pour les créatures, mais j’étais capable de me battre, aussi bien qu’eux, ce qu’ils oubliaient apparemment. Ils me couvraient un peu trop, mon frère, c’est compréhensible et c’était ainsi depuis longtemps, avant même que nous soyons dans l’obligation de nous cacher, mais Ezeckiel, pff… Il m’énervait… Je devais me défouler… Je partais donc de notre tanière muni d’un couteau caché dans mes bottes et de mon arme, mon fusil à pompe. Je sortais donc… Une idée en tête… Comme toujours, je me répétais sans cesse la liste des choses à trouver, en boucle… afin de ne pas oublier quoique ce soit. J’imaginais déjà leurs têtes, à mon retour… Il fallait que je me fasse pardonner, pour éviter toutes représailles, des chips feront l’affaire, à moins que je trouve des habiles, là je serais vénérée. Quoique, non… Je faisais réellement preuve d’innocence en pensant cela, bref. Je comptais trouver des choses, une ville qui semblait vide, un magasin au loin, l’envie d’y arriver avant que je ne sorte la moindre arme. Je courais, m’y arrêtais… Je trouvais un vieux distributeur de friandises. EUREKA ! J’espérais que les denrées n’étaient pas périmés depuis tout ce temps, avec le dos de mon fusil je cassais la vitre qui me séparait de mes m’m’s et les enfournaient dans mon sac. J’en profitais pour prendre les bouteilles en tout genre quand soudain…

Un hurlement.

Je n’étais pas seule dans cette ancienne supérette, mon sac sur le dos… En vu des cris… Une femme surement… Je ne réfléchissais pas vraiment à vrai dire et je fonçais vers ce cri effrayant. Je connaissais la cause d’un tel cri, et courant jusque là, je sentais cette adrénaline qui parcourait pour corps à chaque fois que je me trouvais en face d’un monstre. J’arrivais… Claque. Le bruit de mon fusil à pompe rechargé… J’approchais sans faire de bruit, ne voulant tuer le zombie qu’à la dernière minute. J’hurlais alors… « Toi ! » Je me montrais enfin, ne voyant pas le visage de cette pauvre humaine qui était en détresse. Je sautais face à eux, mon arme pointé vers le zombie. Je souriais, heureuse de pouvoir en dégominer un de plus… « Tu t’attaques à la mauvaise personne. ». Pan… Un coup pour ce zombie, alors qu’un second arrivait caché dans un recoin de la pièce. Je rechargeais machinalement mon fusil, alors que je regardais les issus, maudissant cette journée qui ressemblait comme toutes les autres, tuer les zombies, voilà la belle affaire. Je tirais de nouveau en direction de la créature, laissant explosé des morceaux dans toute la pièce, c’était dégueulasse, mais d’une efficacité à toute épreuve. Contente de moi, je me retournais vers cette humaine dont les hurlements avaient cessés. J’espérais de tout cœur que cette dernière ne soit pas morte, je ne voulais pas faire de cette journée un fiasco de plus. « Tout va bien ? Vous n’avez rien à craindre, je ne m’en prends qu’au monstre… » Je remettais une mèche de cheveux derrière mon oreille, cheveux qui étaient bien trop long et sale, je devais aller faire un tour pour me laver, mais où ? L’hygiène d’autre fois me manquait désespérément. Un soupire le mien… J’attendais une réponse, un geste… Ne voulant pas effrayer plus la personne, de peur qu’elle ne fuie les lieux. Je ne voyais pas son visage, pas encore… J’attendais juste un signe. Cette journée était pourrit, mais qui sait… Le destin allait sonnée à ma porte, bien plus vite que je n’aurai pu croire…


Dernière édition par M. Caroline Campbell le Mer 22 Déc - 7:52, édité 1 fois
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A. Jordane Mcflits

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J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... _
MessageSujet: Re: J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite...   J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Icon_minitimeSam 11 Déc - 7:36

J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472246-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Ashley-3-ashley-greene-17472351-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472029-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Ashley-3-ashley-greene-17472334-100-100
Parfois, pour embellir une journée. Il suffit de retrouver son amie que l'on croit défunte. Alors, dans ces moments là. Votre amour ressurgit. Et vous vous rendez compte que votre vie est parfaite, en la regardant simplement. Car c'est elle qui détient une partie de votre existence...




« Bon, tu as le flingue ? Il est chargé ? » Demanda-t-il d’une voix sérieuse et claquante me faisant bien comprendre que je n’avais pas le choix. Le regardant, sans regarder mon arme, je la défaisais lui montrant toute les balles à l’intérieur et le referma. Je savais faire ça telle une professionnelle. J’avais pris l’habitude de recharger une arme aussi rapidement que mon ombre. Comme dans Lucky Luck… Il m’avait habitué, je n’avais pas eux le choix. Quand il partait en mission je faisais en sorte de lui recharger ses armes pour ne pas qu’il soit contraint à le faire. « Oui Monsieur ! » Dis-je en plongeant mon regard dans le sien. Ce regard qui se voulait tendre et affectif. Levant les yeux au ciel il posa sa main sur ma joue et me la tapota légèrement mais tout de même franche pour rigoler. Son sourire s’agrandissant sur le bout de ses lèvres, je baissais mon regard sur celle-ci pour les regarder plus précisément. Il me donnait envie de plaquer les mienne contre les siennes. Putain… Inspire et expire… de suite… Je relevais le regard et attrapa son poignet. Enlevant rapidement sa main de sur mon visage de mon autre main je posais mon flingue sur son front. « On touche pas une femme armé ! On ne t’a jamais prévenu ?! » Dis-je doucement un sourire malicieux au bout des lèvres. Son regard dans le mien, je pouvais lire de l’amusement, il s’empêchait de rire. Prenant mon arme tout aussi rapidement, il la déverrouilla et me la tendis. « Tu risquais pas de me tuer si tu ne déverrouille pas ton arme Or » Rigolant doucement je me levais et le pris dans mes bras posant mes fesses sur ses jambes bloquait entre lui et le volant. « Je le savais, mais je ne voulais pas prendre le risque de réellement pointer une arme sur toi… Je ne suis pas folle hum » marmonnais-je lentement en posant ma tête sur son épaule pour l’enfouir dans son cou. Depuis que nous étions passés dans l’appartement depuis notre rapprochement, je lui faisais en général deux à trois câlins par jour. J’en ressentais le besoin et je pense que lui aussi. Nous nous étions drôlement bien rapprochés.

Il m’arrivait parfois même dans la nuit de le rejoindre dans le lit pour me blottir contre lui. Il faut dire que ce zombie débarquant alors qu’on dormait m’avait un peu perturbé. Comment bien dormir après ça ? Il était mon seul espoir de pouvoir dormir assez paisiblement…. Me repoussant doucement en posant ses mains sur mes épaules il posa son front contre le mien. « Allez, je file, je fais vite, j’ai juste à récupérer ce que j’ai oublié. Il ne devrait pas y avoir de souci… » Dit-elle en me portant pour me poser sur le siège à côté. Il lui était tellement facile de me porter, j’étais mince, trop à mon gout, entre la mal nutrition et le sport intensif que nous faisions… Même si j’étais musclé j’étais maigre, j’avais perdu plus de dix kilos depuis la pandémie j’en restais persuadé… On pouvait voir mes os aux épaules et ceux de mon bassin… chose qu’on ne voyait pas à l’époque… Soufflant légèrement, je passais mes mains dans ses cheveux et m’approcha de lui mon nez près du sien. « Reviens moi vite et entier … Je t’aime Elli » dis-je en approchant mon visage du sien, nos lèvres à quelques centimètre, je déportais mon visage sur le côté l’embrassant à moins d’un centimètre de ses lèvres. Me reculant pour ne pas être plus tenté je baissais la tête. Entendant son je t’aime il ferma la porte en silence et parti. Soupirant doucement je mis mon arme entre mon jean et ma culotte tenant parfaitement. Je déglutissais lentement en tournant la tête. Il me manquait déjà. Voyant une superette je ne pu m’empêcher de penser à la nourriture… avec un peu de chance… On pouvait trouver de quoi boire et manger. Il y avait des aliments qui ne périssaient pas aussi rapidement qu’on pouvait le penser… Genre les choses surgelés… L’électricité marchait encore… Autant en profiter… après sa serait a nous de trouver une cuisine pour faire le tout… Regardant derrière moi, je ne vis aucun zombie dans le coin. Devant moi aussi. Allez… C’est le moment de prouver que tu peux te débrouiller toute seule… Pas comme la dernière fois… Puis la j’avais un flingue… Je pouvais tirer… Sans plus attendre, attachant mes cheveux propres puisque nous avions passés la nuit dans un appartement je sortais délicatement de la voiture et la ferma sans bruit. Mon cœur battait la chamade. Je pouvais sentir mon sang couler dans mes veines avec trop de puissance. J’essayais de calmer ma respiration qui se voulait désordonner et trop irrégulière. Je traversais la rue sans aucun bruit, je devais être rapide.

Si Tybalt voyait ce que j’étais en train de faire, il était clair qu’il allait m’étriper. La dernière fois j’avais fait la même chose et au final j’avais été prise entre un mur et un zombie. Si je n’avais pas crié… si je n’avais pas appelé Tybalt se zombie m’aurait mordu… Il m’avait sacrément engueulé. Déglutissant lentement je poussais la porte de la boutique et la referma en silence. Je pris mon arme en main le doigt sur la gâchette prête à tirer si jamais tel était le besoin. Je m’aventurais alors dans les rayons faisant bien attention de regarder partout. J’avais encore un très mauvais souvenir de ma visite à Savannah ou un zombie était sorti de sous les rayons pour me faire tomber au sol mordant dans ma botte. Heureusement que j’avais une botte en cuir se jour la… Silencieuse comme jamais j’ouvrais mon sac pour mettre un paquet de pâtes qui avait l’air plutôt bon, je continuais mon chemin tranquillement. Passant dans le rayon des fringues je me stoppais net. Il y avait beaucoup de choix. Tybalt avait besoin d’un boxer, de t-shirt, moi j’avais besoin de soutiens gorge et de culotte. Je fis vite le tri. Je connaissais la taille d’Elli. J’en pris plusieurs et fit de même pour moi. Tout à coup j’entendis un bruit. Me figeant sur place je me tournais rapidement pour ne … rien voir. C’était quoi ce délire ? Mon souffle se coupa, je me sentais divaguer, la tête me tournant violemment. Je passais ma langue sur mes lèvres pour me tourner regarder tout autour de moi quand au loin de vie un zombie. Dos à moi. Il ne m’avait pas vu. Je reculais lentement pour ne pas qu’il s’aperçoive que j’étais là. Je continuais de reculer tout en tournant dans un autre rayon. Tout à coup, je percutais quelque chose. Je sentis alors une main se poser sur mon épaule. Voyant du coin de l’œil l’état de la main, mon cir retentit tout seul dans la superette. Figé sur place je mis un long moment à comprendre que si je ne bougeais pas, j’allais mourir. Je mi un coup d’épaule pour qu’il me lâche. Avançant droit devant moi, il réussit à me faire tomber. J’allais me retourner pour tirer quand tout à coup un bruit strident retentit. Un coup de fusil. Tybalt ? Non. Il n’avait pas prit le fusil. Une voix féminine retentit autour de moi. Je ne comprenais pas ce qu’elle disait, le bruit du fusil m’avait littéralement défonçait les oreilles. Je reniflais recroquevillé sur moi mêmes accroupis à vrai dire.

Tout à coup un second coup retentit. L’autre zombie de tout à l’heure… Oui… Je l’avais oublié celui là. Soufflant longuement, un blanc s’installa dans la pièce. Tybalt allait me tuer, m’arracher la tête. Oui, j’étais morte, ce n’était pas le zombie qui allait me trucider, mais l’homme de ma vie. Merde … Je soufflais longuement essayant de calmer mon cœur. « Tout va bien ? Vous n’avez rien à craindre, je ne m’en prends qu’au monstre… » Cette voix. Si douce, si féminine, si chantante, d’une voix grave aux intonations aigus suivant les mots. Fronçant les sourcils, je n’osais pas me retourner. Cette voix, me rappelait que trop bien ma meilleure amie. Ce n’était pas possible. Impossible… Non… Trois ans… trois putain d’année… Me relevant je gardais tout de même l’arme dans ma main. Passant l’autre main sur mon visage je me le frottais rapidement. Me tournant je me figeais sur place. Ce corps, cette allure. Je la regardais attentivement. C’était elle, c’était MA Caroline, Line… Ma chérie. Surement celle qui pourrait être la femme de ma vie. Un afflux de souvenirs m’envahissaient, nos souvenirs, notre passé commun. Tout. « Caroline… Caroline Maxim Campbell ? » Lâchais-je ahurit. « Oh… Putain de merde ! » Dis-je d’une voix rendus aigu par l’excitation. Les larmes aux yeux je lui sautais dessus la serrant de toutes mes forces contre moi. Mon corps collait contre le sien je la serrais du plus fort que je pouvais. Trois ans, trois longues années que je la croyais morte. Je la croyais morte ou un zombie ou je ne sais quoi. Je me mis à pleurer telle une sombre idiote. Ma Line. Je caressais ses cheveux. On savait tous que j’aimais cela. Tout ce qui me connaissait, savait que je touchais énormément les cheveux. C’était un signe d’amour de ma part. « Line. Je te croyais morte… » Soufflais-je en hoquetant de bonheur. Je déposais alors mes lèvres sur sa joue l’embrassant fortement, je ne fis que sa, l’embrasser sur son visage. Je la voulais près de moi, pour toujours, je la voulais. C’était ma meilleure amie. Trois ans… trois ans de trop… je voulais ne plus la perdre.
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MessageSujet: Re: J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite...   J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Icon_minitimeMer 22 Déc - 7:52

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‘‘Un des plus grands bonheurs de cette vie, c'est l'amitié ; et l'un des bonheurs de l'amitié, c'est d'avoir à qui confier un secret. ’’

Tuer un zombie… Tuer pour survivre… Quoi de plus naturel aujourd’hui. Mais, ce n’était pas toujours le cas, croyez-moi. La première fois ? Une horreur… C’était la première fois qu’on partait, Joshua et moi, en mission pour trouver de quoi se nourrir et survivre. Joshua avait des armes d’une autre excursion qu’il avait accomplie seul. Mais, je m’inquiétais tellement pour lui que j’avais exigé de venir cette fois-ci. Je portais pour la première fois une arme, un colte. Je n’aimais pas les armes, la violence aussi, mais nous n’avions pas le choix. On marchait dans une rue déserte quand il attaqua Joshua, si violemment, si dangereusement que ma peur disparu de suite, pour laisser place à une rage bien plus forte que je ne l’aurai pu l’imaginer. Je pointais mon arme sur cette chose, posant mon doigt sur la gâchette et sans réfléchir, sous les hurlements de mon frère je tirais sur ce monstre, une fois… Une seconde fois… Il tomba raide par terre, je venais de tuer mon premier zombie et j’en ressentais une certaine satisfaction à vrai dire. Aujourd’hui c’était naturel, l’instinct de survie quelque chose du genre. Je préférais désormais mon fusil à pompe que le pistolet et je n’avais plus peur de mourir, et cela depuis mon accident de voiture finalement. Vivre dans un monde sans lumière n’avait aucun intérêt, mon but ? Mon frère… Si je vivais, luttais, survivait c’était uniquement pour lui, il ne survivrait pas avec l’idée que je ne sois plus de ce monde. Je vivais pour lui… et Ezeckiel. Je me relevais, fixant cette silhouette féminine, la première que je voyais depuis longtemps. Je ressentais contre toute attente à son égard, une pointe de jalousie lorsque je l’imaginais rejoindre ce qui était désormais ma famille. Mon frère et Ezeckiel n’agiraient surement pas de la même manière, une autre femme, une rivale ? Je ne devais pas imaginer les choses de cette manière, sauf qu’Ezeckiel en me voyant pour la première fois avait eu un comportement étrange, m’embrasser et étrangement, je ne voulais pas que le même phénomène se reproduise avec cette jeune femme. Une nouvelle femme près de nous, à surprotéger, à réconforter, à apprécier, à aimer… J’en éprouverai de la… Jalousie. ASSEZ !

Un mouvement de la tête, je ne voulais pas admettre la réalité. Non. Elle se redressa me fit face, le choc. Un mirage ? Un sosie, non ! Ce n’était pas possible, impossible… Elle devait être morte, je la croyais morte depuis tout ce temps. Trois ans, trois longues et interminable années, où Joshua et moi-même pensions qu’il n’y avait plus de chance de la revoir, qu’elle n’était plus de ce monde, un zombie ou morte, dans le meilleur des cas. Je n’en revenais pas… A la fois dans cette supérette et ailleurs, je la fixais… Stupéfaite. « Caroline… Caroline Maxim Campbell ? » Lâcha-t-elle, dans le même état que moi. C’était bien moi, je veux dire, ce n’était pas une fille qui lui ressemblait, c’était elle, ma meilleure amie… Jordane… Ma gorge se noua quand je pris conscience que la personne qui se trouvait en face de moi n’était en rien un mirage, mais la réalité, ma meilleure amie. « Oh… Putain de merde ! » Je n’avais même pas le temps de la détailler comme il faut, de répondre à ce qu’elle disait qu’elle me sauta au cou, comme avant. Des flashs m’assaillirent avec une telle violence que j’en perdais presque pied. Notre rencontre, nos délires, nos souvenirs communs, l’accident, ce fameux jour où j’ai cru à tord qu’elle était morte. Jordane… Ma Jordane. Je n’arrivais pas à y croire, comme dans un rêve, j’attendais le réveil, il ne venait pas. Mieux, je sentais la chaleur de son corps contre le mien, agréable. Ne bougeant pas, les bras le long de mon corps, l’information n’arrivait pas à atteindre mon cerveau, et si c’était un tour de ces zombies. Une manière de nous atteindre un peu plus. Mon cœur s’emballa de plus belle, que se passait-il ? Je perdais un peu plus pied, ma main gauche sur mon arme, je luttais contre cette envie soudaine de pleurer. Pourquoi pleurer ? Cela ne servait strictement à rien et si je faisais fausse route. Je ne voulais pas être déçue, je ne sais dans le cas contraire si j’arriverais à me relever, je désirais tant la sentir contre moi, profiter de moment simple comme celui la. Mais elle venait de prononcer mon nom en entier, le son de sa voix, son odeur… Malgré le temps qui passe et notre état plus que diminué. Mon cerveau se mit enfin en route, laissant le sang enflammer mes joues, embuant mes yeux. Non.

Des frissons parcoururent l’intégralité de ma colonne vertébrale, je ne savais que réagir, je savais désormais que c’était elle, ma meilleure amie, la seule et l’unique. J’échappais un léger rire, heureuse de la savoir vivante, moi qui espérais depuis longtemps la retrouver, elle me manquait tellement. Elle déposa en toute délicatesse sa main sur mes cheveux. Je sanglotais presque retenant mes larmes le plus longtemps possible. Je n’allais pas craquer, pas maintenant. Dans un geste lasse, je laissais tomber mon arme sur le sol et emprisonnant son corps dans mes bras. « Line. Je te croyais morte… » Je serrais un peu plus mon emprise sur son corps, sentant son cœur battre dans sa poitrine, humant son odeur sucrée, elle sentait divinement bon. Elle embrassa ma joue, puis une autre… L’intégralité de mon visage et je ne pus retenir mes larmes qui perlèrent mes joues. « Jo’ ! » Je comprenais alors que toutes ses années passées à survivre, elle avait fait exactement la même chose, j’avais soudainement des millions de questions à lui poser. Laissant mon emprise autour de son corps, je me redressais légèrement afin de plonger mon regard dans le sien. Le même, l’émotion m’envahissait d’autant plus, mais entre deux sanglots, j’arrivais à caresser de ma main son visage, poussant légèrement ses cheveux en arrière, je souriais… « Tu es vivante… Ma Jordane est vivante… » Soufflais-je alors que mes larmes s’intensifièrent un peu plus. J’étais soudainement heureuse d’être seule avec elle ici, je ne voulais pas que Joshua ou bien même Ezeckiel m’observent dans cet état. J’arrivais cependant à calmer mes sanglots, pour poser mon flot de question. « Comment ? Tu… Tu es seule ? Tu vis où ? Je pensais… Nous pensions que tu n’étais plus… Oh Jordane… Je suis tellement heureuse, ils ne t’ont pas eu… Un miracle… Raconte moi, comment ? » Finis-je par dire, alors que mes sanglots se mélangèrent à mon rire cristallin. Elle était là, en face de moi… Un miracle.
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A. Jordane Mcflits

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MessageSujet: Re: J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite...   J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Icon_minitimeVen 24 Déc - 6:24

J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472246-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Ashley-3-ashley-greene-17472351-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472029-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Ashley-3-ashley-greene-17472334-100-100
Parfois, pour embellir une journée. Il suffit de retrouver son amie que l'on croit défunte. Alors, dans ces moments là. Votre amour ressurgit. Et vous vous rendez compte que votre vie est parfaite, en la regardant simplement. Car c'est elle qui détient une partie de votre existence...


On ne sait jamais de quoi est fait le lendemain. On ne saura jamais à vrai dire. Mais depuis trois petites années, je vivais au jour le jour. Je n’avais plus aucune perspective d’avenir, je n’en voulais pas, de toute façon. A quoi bon ? Sa ne servait à rien d’en faire lorsque l’on vivait entouré de toute sort de zombie assoiffé de chair humaine… Non, même si je tenais affreusement à lui a cette personne qui en temps normale j’aurais fait en sorte de dragué. Je l’aurais fait sans retenu pour qu’il comprenne que je l’aimais d’un amour totalement immuable. Mais avec ce qu’il se passait au jour d’aujourd’hui, plus rien n’était prévisible, alors, je faisais en sorte de vivre au jour le jour. Je ne me souciais pas du jour que l’on était, je ne cherchais pas à comprendre ou à savoir ce que l’on faisait, on agissait naturellement, se couvrir était devenu une nécessité, une habitude, sans cela nous serions mort. Mort depuis bien trop longtemps. Tybalt était devenu ma seule raison de vivre sur cette planète et j’étais prête à tout pour lui. Même si cela veut dire lui désobéir. Je voulais tellement le rendre heureux, faire en sorte qu’il puisse être heureux dans ce monde de malheur et de chaos. Alors même si cela devait me couter la vie alors, tant pis, car pour lui j’étais prête à mourir, a faire en sorte qu’il soit heureux. Tout simplement. Venir dans cette boutique, prendre de quoi manger, s’habiller, c’était le strict minimum que je pouvais faire, pour lui, pour nous. Même si nous n’étions pas un couple, même si je n’aurais jamais d’enfant avec lui. Jamais. Moi qui aimais les enfants… Moi qui avais toujours aimé ces petits êtres tout mignons, tout souriant… On ne pouvait pas tout avoir dans la vie, et j’en étais cruellement consciente depuis ce jour fatidique ou les zombies furent de notre monde. J’avais toujours cru caroline morte, morte depuis bien trop de temps, ou tout simplement transformée en zombie par l’un de ces tas de mort vivant…

Ma meilleure amie, celle avec qui j’avais traversé des épreuves difficiles. Je n’aurais jamais cru la revoir, la voir même un jour sur New-York. Elle était la, elle venait de me sauver la vie… Sans même savoir qui j’étais sans même se soucier de qui je pouvais être, car soyons honnête, il y avait des humains qui devenaient fous avec tout ce qu’il se passait dans ce monde. A devenir fou je pouvais en comprendre… Mes bras l’encerclant je me sentais en sécurité, comme si tout redevenait comme avant. Elle était une sorte d’espoir pour moi. Ma Caroline… Celle avec qui j’avais grandit murit, cette femme dont je m’étais occupé pendant des années pour qu’elle puisse apprendre à marcher. J’avais été la pour elle et tout ces souvenirs me revenaient en tête. Le bruit du choc me parvenait en tête, fermant les yeux, je resserrais mon emprise sur elle, comme dans l’espoir de faire partir ce souvenir, si perturbant pour moi. Ce jour là fut terrible pour toute les deux. Mais l’avoir là, dans mes bras, la serrer fortement, sentir son odeur enivrer mes narines, je me sentais totalement défaillir, comme si une machine à remonter le temps nous avait transportés toutes les deux ailleurs que cette superette. J’avais l’impression qu’elle ne réalisait pas de son côté que nous nous étions retrouvés. Elle ne me serrait pas dans ses bras, comme surprise, c’était Caroline… Elle mettait toujours un moment à comprendre, alors que, moi tout me venait directement en tête. Je ne desserrais pas mon emprise, je ne le voulais pas, je voulais la garder à mes côtés pour un long moment, sentir, la chaleur de son corps contre le mien. Au bout d’un moment j’entendis quelque chose tomber à côté de nous et bizarrement je ne bougeais pas. Ses bras m’encerclant, je fermais les yeux rapidement, laissant couler plusieurs larmes sur mes joues. Resserrant mon emprise je tenais ses cheveux dans mes mains, les cheveux, tout le monde qui me connaissait savait que j’aimais toucher les cheveux, c’était presque vital pour moi. Inspirant doucement je me collais encore plus à elle. « Jo’ ! » Lâcha-t-elle, J’hoquetais fortement en entendant le surnom qu’elle me donnait. Tremblant légèrement je nous berçais doucement tel deux enfants qui voulaient se réconforter.

Les yeux fermaient, je me sentais ailleurs, en sécurité comme si plus rien n’allait nous arriver, j’étais au paradis… Oui un doux paradis. Je pouvais sentir ses larmes couler sur mon corps, elle était tout aussi émue que moi. Nous ne devions pas être belles à voir, mais je m’en foutais complètement. « Tu es vivante… Ma Jordane est vivante… » Dit-elle d’une voix douce. Rigolant nerveusement, je soupirais longuement en caressant tendrement son dos. « Ouais, vivante, en chair et en os plus en os qu’en chair cependant ! » Dis-je en rigolant doucement, essayant de détendre l’atmosphère. Il fallait être réaliste… Même si j’étais sportive j’avais perdue du poids… Combien je ne saurais le dire, mais on me voyait des os que je ne suspectais même pas d’exister il y a plus de trois ans… Drôle d’imagination… « Comment ? Tu… Tu es seule ? Tu vis où ? Je pensais… Nous pensions que tu n’étais plus… Oh Jordane… Je suis tellement heureuse, ils ne t’ont pas eu… Un miracle… Raconte moi, comment ? » J’essayais de comprendre tout ce qu’elle venait de me débiter. Souriant doucement je reculais en posant mes mains sur ses épaules, caressant son visage, si parfait, elle n’avait pas changé d’un pouce, elle était toujours aussi parfaite, toujours aussi belle, si j’étais homosexuelle… Elle serait la femme de ma vie c’était sur et certains… Soufflant longuement, j’arrangeais ces cheveux mettant quelques mèches derrières son oreille. « Non, je ne suis pas seule, je vis avec un homme depuis un an et demi, Tybalt.. » Dis-je doucement. A entendre cela on pourrait croire que l’on est en couple… Mon cœur se serra fortement. Non… Nous ne l’étions pas. « Un ami… » Rajoutais-je doucement. « Je vis un peu partout, on travers le pays tout entier, il aime bien dégommer les zombies alors… Je le suis, puis… » Passant ma langue sur mes lèvres je rigolais nerveusement. « Je ne voulais pas être seul, il m’a sauvé d’une mort pathétique… alors… » Dis-je doucement en la lâchant doucement pour passer mes mains dans mes cheveux, les tirant en arrière fortement. Je reculais doucement faisant le tour de moi-même pour voir s’il n’y avait pas d’autre zombie. Mon arme toujours en main, je le mettais entre mon short et mon corps, comme m’avait appris Elli. « Je croyais que tu étais morte… J’ai attendu, cinq semaines à l’appartement, tu n’es jamais… Venue Line… Je suis partie quand il m’a fallut survivre… Et aujourd’hui je suis là, grâce à Tybalt… » Dis-je doucement.

« Et toi ? Ton frère ? Joshua … Vous allez bien ? Raconte moi tout, toi aussi, putain, Caroline t’imagine même pas comment j’ai été triste… De te penser morte, ou… Zombifié, ce que tu voudras… » Dis-je doucement en avançant vers elle. Je la regardais attentivement, elle était fatigué, elle était exténué, mais elle était toujours la même. « Et toi ? Ton dos ? Tes jambes, a l’époque le docteur disait de ne pas faire trop d’effort… Tu t’en sors ? » Murmurais-je en posant mes mains sur ses hanches comme je le faisais lorsqu’elle apprenait à remarcher, nous avions une complicité qui même avec le temps ne pouvait pas s’effacer… Non… une amitié ne se brise jamais, même si on le pense…
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J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... _
MessageSujet: Re: J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite...   J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Icon_minitimeJeu 30 Déc - 4:56

J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472029-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... 004chdzb J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472026-100-100

‘‘Un des plus grands bonheurs de cette vie, c'est l'amitié ; et l'un des bonheurs de l'amitié, c'est d'avoir à qui confier un secret. ’’

Le monde ne tournait plus rond depuis un long moment, mais aujourd’hui, dans cette supérette, j’avais la preuve que rien n’est impossible… Rien… Jordane, ma meilleure amie, en face de moi, me parlant, me serrant dans ses bras… Les miracles existaient, elle en était la preuve… Merci… « Ouais, vivante, en chair et en os plus en os qu’en chair cependant ! » Dit-elle en rigolant doucement. Ciel que son rire m’avait manqué et qu’il était si agréable de l’entendre de nouveau. Comme si le temps était en suspend, nous faisions un retour dans le passé d’une manière remarquable. J’aimais cette sensation au creux de mon estomac, elle était vivante… Ma meilleure amie était vivante… Un sourire se dessina sur mes lèvres alors que je me rendis compte que ses paroles n’étaient en rien une blague. Elle était maigre… Le temps avait eu également effet sur elle, je pouvais sentir ses os, elle qui était auparavant une belle plante, divinement bien faite… Sexy, même. Comme dans un autre monde, je prenais grand soin de faire un inventaire, elle était belle… fatiguée mais belle, elle avait l’air équilibré et surtout ne possédait aucun signe d’une blessure dangereuse. Elle semblait en excellente santé, bien évidemment dans notre monde les critères de bonne santé ne sont en rien les même qu’il y a trois ans de cela. Elle me fit face, posant délicatement ses mains sur mes épaules, je souriais bêtement alors que mes larmes perlaient le long de mes joues. Je n’en avais que faire, je ne pouvais luter contre ses dernières, elles devaient couler… Elle caressa mon visage avant de remettre une mèche de cheveux derrière mon oreille, je me sentais stupide sur ce coup là et très sale d’ailleurs. Je devais réellement prendre une douche en vue de l’odeur, mais dans les environs c’était très dur. Mais, mes pensées concernant mon odeur furent coupées net quand elle prit la parole, pour me répondre… Enfin… « Non, je ne suis pas seule, je vis avec un homme depuis un an et demi, Tybalt.. » Dit-elle doucement… Aussitôt je me redressais afin d’en apprendre plus, je fixais ses prunelles qui ne pouvaient me manquer, je les avais tant côtoyé durant des années qu’ils n’avaient plus de secret, à moins qu’avec le temps, j’ai perdu cette faculté. Elle vivait avec un homme, j’étais soudainement très curieuse et j’avais hâte…

De le connaitre, lui cette personne qui côtoyait mon rayon de soleil depuis tant de temps, mais également, mais ses intentions. Après tout, il ne fallait pas qu’on se joue d’elle… Vraiment pas… Rapidement, elle rajouta… « Un ami… » Surement pour clarifier la situation qui m’intriguait longuement. Était-ce un signe, un lapsus ? Elle ne me laissait pas le temps de réfléchir qu’elle continua de me dire. « Je vis un peu partout, on travers le pays tout entier, il aime bien dégommer les zombies alors… Je le suis, puis… » Il était donc là pour la protéger, c’était une bonne chose… Je regrettais soudainement d’avoir écouté mon frère… Quand nous étions retourné dans l’appartement, on la croyait bêtement morte, hors elle était envie, j’aurai du partir à sa recherche au lieu de suivre mon frère. Je regrettais d’avoir fais une chose pareille, je le croyais morte, ou zombifié et ce n’était en rien le cas… J’écoutais attentivement son histoire, voulant dans un sens rattraper tout ce temps perdu, comme si maintenant que nous étions ensemble de nouveau, je pouvais arrêter le temps et profiter de cela, profiter de ce bout de femme. J’eus soudain l’impression que des siècles s’étaient écoulés depuis la dernière fois, ce monde appartenant à une autre époque. Elle passa délicatement sa langue sur ses dents, chose qu’elle avait sans cesse l’habitude de faire, ça lui donnait un coté très… Femme fatale. « Je ne voulais pas être seul, il m’a sauvé d’une mort pathétique… alors… » Il l’avait sauvé… Je l’aimais déjà… Bon certes, je ne le connaissais pas et mon côté protectrice des amies et personnes aimées allaient ressortir si je venais à le rencontrer, pourtant je savais combien je lui serai toujours reconnaissante de protéger Jordane. Elle passa ses mains dans ses cheveux et s’éloigna de moi. Je fis de même et repris mon arme et je mettais le cran de sécurité et l’enfournais dans son étuis dans le dos. Je fis comme elle, j’observais les alentours, attentive au moindre mouvement. Nous étions, apparemment en sécurité… Pour le moment. « Je croyais que tu étais morte… J’ai attendu, cinq semaines à l’appartement, tu n’es jamais… Venue Line… Je suis partie quand il m’a fallut survivre… Et aujourd’hui je suis là, grâce à Tybalt… » Dit-elle, alors que la culpabilité me rongeait de toute part. Je me sentais fautive, réellement…

Comme si le poids de ses trois dernières années me tombait sur les épaules, comme si la réalité des choses me frappait de pleins fouets au visage. « Je comprends… » Lâchais-je la voix légèrement tremblante. Je savais tout cela, mais je ne savais comment faire, j’étais fermé dans un engrenage infernal… Espérer ou survivre, il avait fallu survivre. Mais ne me laissant pas le temps de continuer, elle m’assaillit de questions à son tour… Comme avant… « Et toi ? Ton frère ? Joshua … Vous allez bien ? Raconte moi tout, toi aussi, putain, Caroline t’imagine même pas comment j’ai été triste… De te penser morte, ou… Zombifié, ce que tu voudras… » Elle avança d’un pas dans ma direction, alors que je ne pouvais contenir mon rire, zombifié… Drôle d’expression qu’il allait si bien à ses monstres. « Et bien… » Mais, je fus couper dans mon élan… Quelle pipelette celle-là. « Et toi ? Ton dos ? Tes jambes, à l’époque le docteur disait de ne pas faire trop d’effort… Tu t’en sors ? » Me murmura-t-elle tout en déposa ses mains sur mes hanches. Cela me rappela ses petits gestes qu’elle avait l’habitude de faire quand j’apprenais à marcher, de nouveau. Je posais à mon tour mes mains sur les siennes… Souriant, tout naturellement. « Joshua m’a retrouvé alors que je partais faire des courses, ce fameux jour. Nous avons été obligés de nous cacher, les semaines se sont succédé puis, on est sorti… Je suis allée à l’appartement, tu n’y étais plus… J’ai cru… Enfin, j’osais espérer mais Josh, me rappelait que le monde n’était plus le même et que tu n’étais plus… » Ma gorge se noua… Incapable de dire le moindre mot. Tournant délicatement la tête sur le côté, je comptais effacer mes larmes, mon émotion. Je laissais échappée un rire… Nerveux et inapproprié en soi. « Nous avons voyagé un long moment ensemble, sur la route, chassant ses monstres… Puis, on a fait la rencontre de Pett… Enfin Ezeckiel, et désormais c’est notre compagnon de route… Étrange personnage… Il embrasse puis parle, je ne te raconte pas… On voyage, c’est dur... Mon dos me fait terriblement mal, mais… Je n’ai pas le choix, nous n’avons pas le choix, ils sont partout… Puis, les miracles existent … La preuve… » Je souriais bêtement, alors que ma vision devint un peu plus flou. Je me jetais dans ses bras, serrant son corps une seconde fois… « Oh Jo’ ! Je suis vraiment désolée d’avoir cru… Enfin… De ne pas t’avoir cherché ensuite… J’aurai du suivre mon instinct… Désolée… » Un instant, je laissais l’émotion me submerger, le temps qu’il fallait. Je secouais la tête et ravalait mes larmes… Lui faisant de nouveau face. « Toi, ca va ? Je veux dire… Heureusement que j’étais là, sinon le zombie allait faire de toi sa nouvelle proie ! Fais attention ! Ta vie est trop précieuse… » Rajoutais-je volontairement, avant d’éclater de rire… « Vivante… Quand Josh va savoir ca… » Mes rires furent plus intenses… En réalité, je partais dans un fou rire… Incontrôlable…
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J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... _
MessageSujet: Re: J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite...   J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Icon_minitimeLun 3 Jan - 4:13

J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472246-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Ashley-3-ashley-greene-17472351-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472029-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Ashley-3-ashley-greene-17472334-100-100
Parfois, pour embellir une journée. Il suffit de retrouver son amie que l'on croit défunte. Alors, dans ces moments là. Votre amour ressurgit. Et vous vous rendez compte que votre vie est parfaite, en la regardant simplement. Car c'est elle qui détient une partie de votre existence...

Un visage, la perfection, un sourire, un éclat de soleil. Un regard, la joie de vivre. Sa peau, ses cheveux, tout cela pour me rappeler qu’elle était bien là et pas ailleurs. Elle était la et bien vivante, comment avais-je pu me dire me convaincre qu’elle était morte ? Qu’elle avait été tué par un zombie, mangé, ou je ne sais quoi ? je la pensais comme ma famille, comme ma mère que j’avais croisé ce fameux jour, elle qui avait voulu alors, me tuer dans un seul but se nourrir. Mais la voir la bien en chair et en os, la voir si vivante et en si bonne santé comparé à avant. Elle qui avait été affaibli le jour de l’accident. Ce jour dramatique ou j’étais morte. A mes yeux ma vie s’était arrêtée ce jour si horrible. Alors qu’en réalité il aurait dû être parfait. On venait tout juste d’être diplômé. On venait de recevoir notre entrée à l’université, on était au début de notre vie et on avait tout gâché. Mais elle. Elle s’en était sacrément bien sorti. Elle avait traversé tant d’épreuve et j’avais été la pour elle, je lui devais bien ça. Non seulement c’était ma meilleure amie, mais car elle n’avait personne qui pouvait s’occuper d’elle. Je me souvenais encore nos moments de délires à l’appartement. Les fois ou on prenait nos bains ensemble pour que je puisse la laver tranquillement. On était tel deux gamines, elle prenait plutôt bien son sort. Je l’admirais pour cela. J’aurais été a sa place je me serais laissé aller, je n’aurais pas cherché à me battre pour remarcher. J’aurais été la simple défaitiste. Car finalement c’est tout ce que je savais faire. Depuis ce jour là, ma vie avait prit un tournant tout aussi différent que je n’aurais pu le croire. Mon orgueil, ma grande gueule… Je n’étais plus la courageuse de service et je pense qu’on pouvait le voir lorsque je me retrouvais devant un zombie… incapable de tirer, incapable de me défendre.

Combien de fois j’avais pointé une arme sur eux ? Combien de fois j’avais tiré ? Facile à compter… zéro. Minable, pathétique, alors que j’aurais dû le faire. Et quand je vois ma Caroline avec tout ce qu’elle a traversé… Tuer des zombies aussi bien, bon sang… Je l’enviais. Elle faisait cela tellement bien. C’était malheureusement devenu, une habitude. Mes larmes perlant à mes yeux, je le regardais attentivement, elle était toujours aussi belle, même si elle était sale. Nous l’étions tous. J’avais horreur de ça, je ne supportais pas que Tybalt m’approche quand je ne m’étais pas lavé depuis plus de deux jours. Je ne supportais pas ça du tout. J’avais l’impression de sentir le mort. Je me sentais sale et je n’aimais vraiment pas que l’on me voit ainsi, mais avions nous réellement le choix ? Non bien sûr que non. Sans plus attendre elle me demanda comment j’étais vivante. Je ne pu m’empêcher de lui parler de Tybalt, il était l’homme de ma vie. Celui que j’aimais secrètement… Mais je l’aimais et ça comptait… « Je comprends… » Relevant doucement la tête, je regardais son visage, si mêler d’émotion, entre joie et tristesse. Tristesse car nous pleurions toutes les deux comme des idiotes. La joie de se retrouver. Un réel bonheur, mais, je savais que nous allions être séparé a nouveau, car je devais partir vers le sud avec Tybalt, le temps défilait trop rapidement. Mes mains posaient sur ses hanches je la regardais attentivement, elle était sublime, belle, parfaite. Oui c’était le mot… Parfait. Ma petite Caroline à moi. Soufflant doucement, je sentis alors ses mains sur les miennes. Relevant la tête je plongeais mon regard dans le sien.

« Joshua m’a retrouvé alors que je partais faire des courses, ce fameux jour. Nous avons été obligés de nous cacher, les semaines se sont succédé puis, on est sorti… Je suis allée à l’appartement, tu n’y étais plus… J’ai cru… Enfin, j’osais espérer mais Josh, me rappelait que le monde n’était plus le même et que tu n’étais plus… » Ma gorge se serrait sans pouvoir dire quoi que se soit. Elle avait eu raison, elle aurait dû dire à Josh que j’étais vivante et qu’il fallait qu’il me retrouve. Mais ils n’auraient surement pas eu l’idée de monter directement vers le nord. Et je n’aurais surement pas connu Tybalt s’ils m’avaient retrouvé…« Nous avons voyagé un long moment ensemble, sur la route, chassant ses monstres… Puis, on a fait la rencontre de Pett… Enfin Ezeckiel, et désormais c’est notre compagnon de route… Étrange personnage… Il embrasse puis parle, je ne te raconte pas… On voyage, c’est dur... Mon dos me fait terriblement mal, mais… Je n’ai pas le choix, nous n’avons pas le choix, ils sont partout… Puis, les miracles existent … La preuve… » Fronçant les sourcils, j’essayais d’analyser ses paroles sur cet Ezéckiel. Il embrasse ? Il l’avait embrassé ? C’était ça que je devais comprendre ? Si oui c’était plutôt bien qu’elle ait un amoureux non ? Ou était ce simplement un ami. Connaissant Caroline, c’était juste un ami, surtout s’il l’avait embrassé sans le lui demander. Elle pouvait se montrer très coriace le petite ! Tout a coup elle se jeta sur moi. Reculant d’un pas, sans m’y attendre je la serrais fortement dans mes bras. Ma tête s’enfouissant dans son cou j’inspirais sa douce fragrance. La chaleur de sa peau me donnait des frissons, je me sentais horriblement bien et bon sang que c’était bon d’être là avec elle. C’était très, très plaisant. « Oh Jo’ ! Je suis vraiment désolée d’avoir cru… Enfin… De ne pas t’avoir cherché ensuite… J’aurai du suivre mon instinct… Désolée… » Fermant les yeux, je me laissais bercer par sa voix, cette voix que j’aimais tant. Ma Caroline. Mon petit bout de femme. « Toi, ca va ? Je veux dire… Heureusement que j’étais là, sinon le zombie allait faire de toi sa nouvelle proie ! Fais attention ! Ta vie est trop précieuse… »

Ouvrant les yeux, je la regardais tendrement, penchant la tête mon regard se faisant plus que compatissent. Cette fille était adorable, si je n’étais pas hétéro… Elle serait surement ma copine. Intime. « Vivante… Quand Josh va savoir ca… » Son rire nerveux me fit rire à mon tour. Je voulais déjà voir la tête de son frère. Oui la tête qu’il ferait quand il me verrait. Soufflant doucement, je passais mes mains dans mes cheveux les tirant en arrière. Regardant tout de même un peu partout, au cas ou des zombies entreraient, je me mordais la lèvre. Tybalt… J’espérais de tout cœur qu’il ne soit pas en train de me chercher… Il allait encore m’engueuler… « Tu sais Line, je ne t’en veux pas, je te croyais morte moi aussi… Certes j’ai voyagé un an et demi toute seule… Ce fut très dur, plus que dur… horrible, effrayant, j’en venais à ne plus dormir. Je tenais avec des cachets… Je me bourrais a la vitamine C et encore parfois sa ne marchait pas… Une vraie droguée… Et quand j’ai rencontré Elli… Wow… Ma vie a changé. Je dors, je souris, je m’amuse… Enfin, tu vois quoi… » Soufflais-je doucement en regardant vers la porte d’entrée voir si je ne voyais pas Tybalt dans la rue. Il serrait surement venu. Il sait que les centres commerciaux, je ne résiste jamais. J’ai toujours ce besoin de prendre de quoi manger ou s’habiller… Des que l’on peut… Autant profiter ! « Et toi ? Qu’est ce que tu me racontes ? Cet Ezéckiel là ? Il embrasse ? Comment ça ? Il t’embrasse ? Tu te laisses faire maintenant ? Hum, dit donc il doit être mignon allez avoue le ! Tu craques pour lui ! La Caroline que je connais ne laisserait personne l’embrasser… » Dis-je en lui faisant un clin d’œil. J’avais l’impression d’un retour en arrière… Se retrouvant au lycée à parler de mec. C’était un sacré coup dans le cœur. Trop se souvenirs qui me submergeaient…

Regardant le zombie mort a terre je soufflais longuement. « Ouais, j’ai le don pour m’attirer les merdes de ce genre. Mais ne t’inquiète pas. Tybalt est toujours là pour me sortir de ces merdes. Et toi aussi d’ailleurs ! Merci beaucoup. Mais… Pitié, si Tybalt arrive, ne lui dit pas qu’il m’a attaqué. Sinon je risque vraiment… De me faire tuer. Et par un humain ! » Dis-je en rigolant légèrement, un rire nerveux. Mon ventre se noua. Je n’aimais pas trop voir Elli froid. Sa me faisait tellement mal au cœur… Tournant la tête à droite, toujours dans les rayons des vêtements, je vis un jogging. Parfait. J’avais dis a Tybalt que je ne dormirais plus en petite robe. Inspirant longuement, je le pris et le mit dans mon sac. « Besoin de fringues… On en manque… » Dis-je en regardant Caroline. « Hey, tu crèches ou ? Nous on sort d’un appartement là et on file vers le sud… Et vous ? » Demandais-je doucement en regardant toujours dans le rayon, voir si je trouvais d’autre vêtements qui pourrait plaire a Tybalt.
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MessageSujet: Re: J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite...   J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Icon_minitimeLun 10 Jan - 3:25

J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472029-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... 004chdzb J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472026-100-100

‘‘Un des plus grands bonheurs de cette vie, c'est l'amitié ; et l'un des bonheurs de l'amitié, c'est d'avoir à qui confier un secret. ’’

Nous étions en suspend, en l’espace d’un instant nous étions deux jeunes femmes, de vieilles amies, dans un endroit, se retrouvant, apprenant de nouveau à vivre l’une auprès de l’autre. Certes le temps était compté, mais le fait est qu’elle se trouvait en face de moi et je ne savais comment peindre ses mots tant ils étaient fort, indescriptible, imprononçable… Elle me manquait, je l’aimais… elle était là, dieu que c’était plaisant de la retrouver, de l’aimer, de profiter de ce moment… Mais il était compté… « Tu sais Line, je ne t’en veux pas, je te croyais morte moi aussi… Certes j’ai voyagé un an et demi toute seule… Ce fut très dur, plus que dur… horrible, effrayant, j’en venais à ne plus dormir. Je tenais avec des cachets… Je me bourrais a la vitamine C et encore parfois sa ne marchait pas… Une vraie droguée… Et quand j’ai rencontré Elli… Wow… Ma vie a changé. Je dors, je souris, je m’amuse… Enfin, tu vois quoi… » Souffla-t-elle doucement alors que je sentais mon cœur battre la chamade dans ma poitrine. Comme il y a bien longtemps je dois bien l’avouer. Ses paroles me firent l’effet d’une bombe, et je me rendais compte de tout ce que nous avions mutuellement perdu ses dernières années, je trouvais cela bien triste d’ailleurs. Mais, la vie était ainsi faite et elle avait fait la rencontre de ce Tybalt et dans un sens c’était une bonne chose. Oh je n’étais pas née de la dernière pluie et je comprenais bien qu’elle en pinçait pour ce jeune homme, même si elle ne l’avouera jamais de vive voix, mais à cette façon qu’elle avait de parler de lui, des étoiles dans les yeux, ce garçon ne la laissait pas indifférent. Tant mieux, elle avait eu sur son chemin, un compagnon de route qui arrivait à la dompter, elle qui était si particulière, surtout en ce qui concerne les hommes, mais je ne pouvais la juger sur cela, j’étais pareille… Certes, dans un autre registre, mais j’étais tout de même difficile avec les hommes, et je vivais 24h/24 avec deux d’entre eux… Misère quand tu nous tiens… « Et toi ? Qu’est ce que tu me racontes ? Cet Ezéckiel là ? Il embrasse ? Comment ça ? Il t’embrasse ? Tu te laisses faire maintenant ? Hum, dit donc il doit être mignon allez avoue le ! Tu craques pour lui ! La Caroline que je connais ne laisserait personne l’embrasser… » Rajouta-t-elle tout en faisant ce clin d’œil qui en disait long. M*rde… Il est vrai que je parlais plus vite que la musique, ne prenant jamais soin de peser mes paroles…

Parler du baiser d’Ezeckiel, ramenait le souvenir de notre rencontre au gout du jour, ce que je désirais éviter par tous les moyens. Elle était finie observatrice et me connaissait bien plus que quiconque sur cette terre. Même mon frère, ne me comprenait pas quand il s’agissait de parler d’amour. Mais Jordane… C’était une autre histoire, et même après trois ans de séparation, elle arrivait à lire en moi comme dans un livre ouvert, je la détestais non de dieu. Mais, l’amour que je pouvais lui porter était bien plus fort que le reste, comme si nos destins étaient liés à toutes les deux… Des âmes sœurs mais au féminin dans un sens. A ses questions, je détournais la tête, posant mes deux mains dans le bas de mon dos pour m’étirer doucement. Je sentais le rouge me monter aux joues sans que je ne puisse le contrôler. Ce qui m’étonna au premier abord, Ezeckiel n’était qu’un compagnon de route comme tant d’autre, un point c’est tout. « Il s’est pris un coup bien placé, je peux te le garantir… Je suis la première femme qu’il a vu en deux ans et demi de voyage, un baiser un seul… Et ne me regarde pas avec ses yeux là, il n’est pas laid, mais pas du tout mon style d’ailleurs… Trop grand et sur de lui… Mon frère l’adore… Puis aimer alors que le monde tourne pas rond, faut être inconsciente ou désespérée… » Ajoutais-je à mon tour, essayant de me persuader plus que Jordane. Je ne voulais pas aimer, je ne voulais pas ressentir ses drôles de sentiments que je n’avais jamais ressentis auparavant. Aimer était quelque chose de simple dans le passer, même si je ne suis pas de ces minettes qui tombent amoureuse du premier venu, je ne cherchais pas cela, je ne cherche toujours pas. Mais il est vrai qu’Ezeckiel peut parfois se montrer très attirant, mais là encore ce ne sont que mes hormones qui parlent… Plus de trois ans sans sexe, ça marque une personne, même une femme. Son regard se posa sur le zombie mort sur le sol, j’eus une grimace… Me rappelant que nous n’étions pas immortel, certes je n’avais plus peur de me battre, telle une lionne voulant sauver ses petits, mais j’avais eu dans mon passé de grosses frayeurs. D’ailleurs le jour où je fis la connaissance d’Ezeckiel, c’est lui qui m’a sauvé la vie et pas l’inverse, mais je me le gardais bien de le dire.

Puis, je voulais me battre toujours un peu plus et j’avais soudainement peur pour elle, même si elle n’était que rarement seule, elle devait apprendre à se battre. « Ouais, j’ai le don pour m’attirer les merdes de ce genre. Mais ne t’inquiète pas. Tybalt est toujours là pour me sortir de ces merdes. Et toi aussi d’ailleurs ! Merci beaucoup. Mais… Pitié, si Tybalt arrive, ne lui dit pas qu’il m’a attaqué. Sinon je risque vraiment… De me faire tuer. Et par un humain ! » Dit-elle en rigolant légèrement. Je fis un signe de la tête que je n’allais rien cafarder, même si j’aurai aimé ne pas avoir cette image de ma meilleure amie, apeurée par la présence d’un zombie dans le coin. Surtout dans le monde dans lequel nous vivions. « Tu devrais apprendre à te battre… Au moins, tu pourras te défendre contre les Zombies… Il ne t’a pas appris à te battre ton Roméo ? » Dis-je un air amusé, la taquinant sur ce jeune homme que je ne connaissais pas mais qui avait l’air d’avoir la première place dans sa vie. Puis, il est vrai que j’avais hâte de voir sa réaction concernant la petite phrase que je venais de faire. Si elle réagissait… Elle en pinçait pour lui, c’est sur… Je la vis prendre un vêtement sur le sol, qu’elle mit automatiquement dans son sac, on aurait dis que c’était moi, quand je faisais les magasins, à prendre tout ce qui pouvait nous servir. « Besoin de fringues… On en manque… » Me dit-elle tout en me regardant… On se comprenait alors, c’était la même chose chez nous, enfin de notre côté… Nous n’avions plus de chez nous depuis fort longtemps. Ce qui me manquait dans un sens, de ne plus avoir un endroit particulier qui nous appartienne. Seul la voiture pouvait se venter de servir de chez nous, mais pas du tout spacieux. « Hey, tu crèches ou ? Nous on sort d’un appartement là et on file vers le sud… Et vous ? » Dit-elle, alors que je l’imitais… Je regardais autour de moi afin de prendre de la nourriture. Je vis des paquets de chips que je pris immédiatement alors que je continuais de lui répondre… « On reste rarement dans les maisons et appartements, je ne m’y sens pas en sécurité… On prend de vieux endroits la plupart du temps, sinon la voiture. Là, on a trouvé un petit motel en dehors de la ville. Plus c’est miteux, moins de chance de trouver des zombies ! » Dis-je en haussant les épaules, je regardais toujours autour de moi, soudainement anxieuse. « Vous voyagez dans quelle direction ? Parce que nous, on a entendu parler d’une zone sécurisée et on ne sait trop comment nous y rendre… » On connaissait une destination, sans vraiment savoir où, étrange. Dans un sens, j’avais hâte de me retrouver là bas pour me sentir en sécurité, mais de l’autre, j’étais inquiète de faire de nouvelles rencontres, de voir mes compagnons trouver de l’intérêt chez d’autre personne, je me retrouvais très égoïste je dois avouer… Mais un peu de repos devenait indispensable. Je soupirais alors, la regardant alors… Triste… « On se retrouve et je sens… Je ne sais pas pourquoi, qu’il va falloir de nouveau se séparer… » Je déteste cette vie, je déteste cette condition et tout ce que cela comporte… Je n’en pouvais plus et ne désirais qu’une chose, que ce monde sans avenir cesse une bonne fois pour toute, ou au contraire, qu’une solution nous apparaisse… Je ne disais rien, l’admirant alors… Dieu qu’elle pouvait être sublime, même après trois ans de souffrance quotidienne…
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Habitué
des lieux


A. Jordane Mcflits

HEY ! Mais c'est :
    A. Jordane Mcflits

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♣ Où te caches-tu ? : Dans les bras d'Elli
♣ Comment survis-tu ? : Grâce à Tybalt
♣ Comment te sens-tu ? : Mal... Mais Amoureuse !

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♣ Mon tableau de chasse :
♣ Mes ressentis actuels:
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J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... _
MessageSujet: Re: J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite...   J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Icon_minitimeVen 14 Jan - 13:13

J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472246-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Ashley-3-ashley-greene-17472351-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472029-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Ashley-3-ashley-greene-17472334-100-100
Parfois, pour embellir une journée. Il suffit de retrouver son amie que l'on croit défunte. Alors, dans ces moments là. Votre amour ressurgit. Et vous vous rendez compte que votre vie est parfaite, en la regardant simplement. Car c'est elle qui détient une partie de votre existence...


Caroline, ce petit bout de femme, le mien. J’osais le penser, j’osais même le dire si la situation n’était pas la même bien évidemment. Nous étions là, dans cet endroit, cette petite superette, à chercher l’une l’autre de quoi manger, ou plutôt pour ma part de quoi m’habiller et habiller bien évidemment Tybalt. J’essayais d’oublier la partie ou le zombie avait failli me tuer. Si Caroline n’était pas arrivée, je n’aurais pas eu le réflexe de tirer. Tybalt m’en aurait surement voulu toute sa vie. Il s’en serait surtout voulu de m’avoir laissé seule dans cette voiture. Il s’en serait mordu les doigts. Je savais qu’il tenait à moi et qu’il ne pourrait plus vivre correctement sans moi dans sa vie. Il faut dire que c’était pareil pour moi. Nous étions l’essentiel de chacun. C’était ainsi. Mais la dans la minute, j’étais avec ma meilleure amie, la fille que je connaissais le mieux sur terre. Ce petit bout de femme qui m’était a vrai dire plus qu’essentiel. J’avais souvent pleuré en la pensant morte. Elle m’avait tellement manqué. Combien de fois j’avais rêvé d’elle ? Combien de fois je voulais la prendre dans mes bras ? Combien de fois je voulais sentir sa chaleur contre ma peau, son odeur, sa douce fragrance si enivrante, ou bien même simplement sa peau contre la mienne ? Trop à mon gout. Et aujourd’hui elle était là ! Bon sang elle était la devant moi, en chair et en os. J’avais envie de la serrer, de la prendre toute la journée dans mes bras. Je voulais l’embrasser … J’étais prête à tout pour elle. Si ça ne tenait qu’à moi je la ferais venir avec nous. Mais, qui me dit que Tybalt ne craquerait pas pour elle ? Bon sang, je ne devais pas penser à cela, puis elle était avec Josh et l’autre. Ezéckiel. Cet homme dont elle avait quand même l’air d’apprécier sa petite présence. Non, elle ne pouvait pas venir avec moi, avec nous malheureusement, à moins qu’elle décide de quitter son frère et l’autre, chose qu’elle ne fera pas. Soit, on s’alliait tous, mais la c’était Tybalt qui ne voudrait pas. On était tellement habitué à notre petit train de vie tous les deux. Vivre a plusieurs sa nécessite de trouver plus de quoi manger, de quoi s’habiller et surtout pour dormir.

Un endroit où passer la nuit. Non ce n’était pas faisable. Rien que d’y penser, mon cœur se serra comme jamais. Je venais tout juste de la retrouver et nous allions nous séparer. Pour combien de temps ? Je ne voulais pas y penser, c’était vraiment trop dur et trop horrible. Trop d’émotion en si peu de temps. Celui de la retrouver, la joie, l’euphorie. Et celle de la perdre à nouveau. La tristesse et la peur. « Il s’est pris un coup bien placé, je peux te le garantir… Je suis la première femme qu’il a vu en deux ans et demi de voyage, un baiser un seul… Et ne me regarde pas avec ses yeux là, il n’est pas laid, mais pas du tout mon style d’ailleurs… Trop grand et sur de lui… Mon frère l’adore… Puis aimer alors que le monde tourne pas rond, faut être inconsciente ou désespérée… » Relevant le regard vers elle, je la vis s’étirer doucement tout en … Rougissant ? Bon sang, elle l’aimait ! Elle l’adorait ! Elle tenait à lui ! La petite coquine. Un léger sourire en coin se logea alors sur mon visage. J’aimais la connaitre et la cerner avec autant de facilité. Nous n’étions pas meilleure amie pour rien. Nous avions tout de même vécut quatre ans ensemble. Nous étions telles deux sœurs jumelles. Souriant toujours, j’inspirais longuement en prenant sa dernière phrase personnellement. J’étais follement amoureuse de Tybalt. Et je n’étais pas pour autant désespérée. Non si je l’étais, je serais plutôt le genre de fille à vouloir simplement coucher avec le premier venu. Non, moi ce que je voulais c’est le cœur de mon Elli. Lui le seul et l’unique. Mais je savais que ça n’arriverait jamais. Il ne fallait pas que je me fasse de fausses idées. Ce n’était pas bon pour le moral. « Je reconnais bien la ma meilleure amie ! » dis-je doucement en lui caressant alors la joue du bout de mes doigts mon regard se faisant aimant a son égard. Dieu que je l’aimais. Eternellement. « Tu sais… On peut aimer une personne sans pour autant être désespérée… Ou inconsciente. L’amour peut nous aider à survivre au contraire… » Dis-je cette fois d’une voix basse, en baissant les yeux.

Je parlais en mon cas. Pas dans ce de tous. Mais je restais persuadé que l’amour pouvait aider oui car moi il m’aidait à tenir et à ne pas flancher. Si je restais vivante aujourd’hui c’était pour une seule personne. Tybalt. Il m’avait sauvé, m’enlevant se flingue de sur ma tempe. Il avait été la pour moi… Et je ne pouvais que l’en remercier. Continuant la conversation sur ce sujet, je lui demandais alors de ne surtout pas dire à Tybalt que le zombie m’avait attaqué. Son signe de tête me fit sourire doucement. Elle était vraiment sympa de m’aider de la sorte. « Tu devrais apprendre à te battre… Au moins, tu pourras te défendre contre les Zombies… Il ne t’a pas appris à te battre ton Roméo ? » La regardant je me mis à rigoler nerveusement. Roméo ? Bon sang, elle avait deviné que je l’aimais … Elle n’avait pas changé, elle me cernait toujours aussi vite. C’était plaisant. Tybalt, mon petit Roméo d’amour. « J’ai demandé a Tybalt qu’il m’apprenne à me battre, mais, il aime bien me protéger… Mais tu sais, je sais me servir d’une arme, vraiment, mais, des que je me retrouve face a un zombie… Je ne sais pas… Je perds tous mes moyens… Je revois encore Ian… Transformait en zombie. Bon sang, et ma mère qui m’a attaqué… Sa m’a … Perturbé. » Soufflais-je doucement en essayant d’enlever cette image de ma tête et rapidement. Sans plus attendre, je me mis a fouiller les rayons, pour prendre des vêtements, je ne voulais plus être trop… Sexy. Tybalt avait un réel problème avec ça et je devais faire en sorte de le mettre à l’aise. Je ne voulais qu’il soit constamment tenté par mon corps. J’avais confiance en lui, je ne me faisais pas de souci sur ce point là. Mais si je pouvais lui éviter la torture… Alors je serais ravi. Le pauvre… Mais nous étions deux… Sauf que lui ne savait pas réellement pour moi. « On reste rarement dans les maisons et appartements, je ne m’y sens pas en sécurité… On prend de vieux endroits la plupart du temps, sinon la voiture. Là, on a trouvé un petit motel en dehors de la ville. Plus c’est miteux, moins de chance de trouver des zombies ! »

Me tournant vers elle, je la vis prendre de quoi manger. Souriant doucement, je m’aperçu que sur ce point la nous n’étions pas pareil. Nous, nous allions beaucoup plus dans des appartements. Peut être car Tybalt avait le sommeil léger. « Vous voyagez dans quelle direction ? Parce que nous, on a entendu parler d’une zone sécurisée et on ne sait trop comment nous y rendre… » Passant ma langue sur mes lèvres je la regardais surprise. Je pensais qu’elle connaissait la zone, et en fait pas du tout. « La zone ? Mais vous n’êtes pas loin du tout ! C’est sur New-York, tu ne peux pas la rater ! C’est limite plus grand qu’une base militaire, ta du grillage des tours etc bref pour tuer les zombies qui s’en approche… Pour y rentrer, c’est chaud… Ils guettent les moindres blessures, ils ne veulent pas prendre de risque… Et pour en sortir c’est pareil. On n’y va jamais avec Elli. On a une maison a nous là-bas. Mais… On a tellement galérer pour sortir que on a du y aller deux fois… C’est vraiment pour se reposer quoi. » Dis-je doucement en m’approchant alors d’elle. Son regard triste me fendit le cœur. Me pinçant la lèvre je tenais fortement mon sac dans mes bras. « On se retrouve et je sens… Je ne sais pas pourquoi, qu’il va falloir de nouveau se séparer… » Soufflant longuement, elle n’avait pas tord. Posant mon sac sur le sol, je ne pu m’empêcher de la prendre alors, dans mes bras. La serrant extrêmement fort je soupirais tout en humant sa douce fragrance. « Je pars dans … En fait s’il faut Tybalt est entrain de me chercher, je ferais même mieux de sortir dans la rue pour ne pas l’inquiéter… On part dans le sud… On a … En quelque sorte, chacune sa vie aujourd’hui… Mais Caroline bon sang tu es vivante ! Il y a des ordinateurs des téléphones a la zone ! Si je capte la ou on va je pourrais te contacter, ou toi me contacter et vis versa. » Soufflais-je doucement en l’embrassant alors sur le bout de son nez, puis ses joues et le reste de son visage, hormis ses lèvres. Bien que, avouons-le… Sa ne me gênerait aucunement… La lâchant doucement, je me baissais pour prendre mon sac et le mi sur mon épaule. « Bon sang, il va me tuer… Laisse-moi faire hum, et ne parle pas du zombie que tu as flingué pour me sauver… Il se fait trop de souci pour moi, et je ne veux pas le rendre malheureux… Je n’aime pas quand on se dispute légèrement. Ty… Compte beaucoup pour moi. Même si… pour lui je ne suis que sa sœur de cœur… » Soufflais-je en me confessant quelque peu a Caroline. Marchant vers la sortie, le cœur lourd je soupirais lasse. Tenant la porte je me tournais alors vers ma meilleure amie. « Caroline ? Je t’aime tu le sais ? J’ai jamais cessé de t’aimé… Tous les jours j’ai pensé à toi. Tout le temps. Ma caroline en fauteuil roulant, ma Caroline lors de l’accident et bien sur avant. Tout le temps tous nos moments… Ne l’oublie jamais… » Murmurais-je avant de sortir alors du bâtiment une fois qu’elle était à mes côtés. Relevant la tête, je guettais la voiture pour voir si Tybalt était là. Il n’était pas encore arrivé.


Spoiler:
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Se fait une place
dans l'aventure


M. Caroline Campbell

HEY ! Mais c'est :
    M. Caroline Campbell

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♣ Où te caches-tu ? : Quelque part où tu ne me trouveras pas.
♣ Comment survis-tu ? : En sortant les armes.
♣ Comment te sens-tu ? : Vide.

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♣ Mon tableau de chasse :
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♣ Disponibilité rp: Ok pour un rp

J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... _
MessageSujet: Re: J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite...   J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Icon_minitimeSam 29 Jan - 3:11

J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472029-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... 004chdzb J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472026-100-100

‘‘Un des plus grands bonheurs de cette vie, c'est l'amitié ; et l'un des bonheurs de l'amitié, c'est d'avoir à qui confier un secret. ’’

Le temps coule trop vite, on n’a pas le temps de dire ouf, que le voilà déjà bien loin… Loin de notre portée et je détestais cette idée. Je me rappelle encore quand nous étions ensemble dans son appartement, qu’elle était là pour ma rééducation, je me rappelle quand nous allions ensemble au lycée, que je lui avouais mon passé difficile, loin de ma famille, de mes parents que je ne connaissais pas. C’était loin et s’en était d’autant plus triste. Je devrais me réjouir de la revoir, j’en ressentais un poids, qui s’agrandissait non sans mal… Nous parlions, comme avant… Me taquinant sur Ezeckiel, faisant tout autant avec son compagnon. Nous reprenions non sans facilité, nos places… Mais pour combien de temps ? Voilà, ma faiblesse… Laisser partir une meilleure amie, déjà perdu, difficile… « Je reconnais bien là, ma meilleure amie ! » Dit-elle tendrement tout en caressant ma joue du bout des doigts. Dieu que ce geste, aussi simple, mais futile avait de l’influence sur moi, c’était naturel et si plaisant. Je ne voulais pas que cela cesse, hors, nous savions tous que c’était le cas… Comme toujours, comme tous… Toutes les bonnes choses ont une fin. « Tu sais… On peut aimer une personne sans pour autant être désespérée… Ou inconsciente. L’amour peut nous aider à survivre au contraire… » Dit-elle à doucement tout en baissant la tête. Je ne partageais pas son point de vu, je ne voulais pas être amoureuse, je ne voulais pas me fragiliser en m’attachant à quelqu’un, uniquement pour survivre. Je vivais pour mon frère, c’était mon sang, ma chair… Cela avait une explication rationnelle, survivre pour un inconnu, un homme, uniquement pour me rapprocher de lui, où me sentir mieux dans ses bras, non. Je n’avais pas besoin de cela, je ne voulais pas dépendre de quelqu’un de la sorte. Je l’étais suffisamment de mon frère, je ne voulais pas rajouter une personne de plus. Puis, comment plaire ? Comment aimer quelqu’un quand l’avenir est incertain, je m’étais faite à l’idée de perdre mes proches, c’était douloureux, mais quelqu’un qu’on aime, qu’on apprend à aimer, cela était insupportable. Je me rendis soudain compte que pour mon cas, c’était surement trop tard, le mal était déjà fais. Mais je préférais me battre que de subir une fois de plus ce sentiment, je lutterai s’il le faut contre ce sentiment-là.

Cependant, je me rendis rapidement compte qu’elle parlait en son nom, et j’en étais un peu plus triste. Pas qu’elle soit amoureuse d’un homme, non… c’était une bonne chose, tout de moins je l’espère… J’étais triste d’avoir perdu tout ce temps, de ne pas partager les joies de sa vie, de n’être désormais plus qu’une passagère sur la route de la vie, qui voit… Mais qui ne profite jamais. C’était triste, je regrettais… Mais, la vie était faite ainsi… Je me sentirais mieux, si je la savais en sécurité… Elle devait l’être, avec lui, bien sur elle le serait… Mais, il fallait qu’elle se défende mieux, si je n’avais pas intervenu, nous aurions, tous les deux pleurés sur un cadavre, bien sombre image de ma meilleure amie, trop sombre pour la réitérer. « J’ai demandé à Tybalt qu’il m’apprenne à me battre, mais, il aime bien me protéger… Mais tu sais, je sais me servir d’une arme, vraiment, mais, des que je me retrouve face a un zombie… Je ne sais pas… Je perds tous mes moyens… Je revois encore Ian… Transformait en zombie. Bon sang, et ma mère qui m’a attaqué… Ca m’a … Perturbé. » Souffla-t-elle doucement, alors que j’imaginais la scène, ce devait être horrible de voir cela de ses propres yeux. Je comprenais alors qu’il était difficile pour elle d’agir de la sorte, je trouvais cela d’ailleurs, difficile d’imaginer qu’on puisse vivre chose pareille et continuer son chemin, sans être dévasté. Le monde ne tournait plus rond, mon monde ne l’était plus depuis longtemps, que pouvions-nous y faire ? Elle avait vu de sale chose, tout le monde, elle était courageuse, je l’admirais pour cela… Alors qu’elle ramassait des vêtements, je fis de même avec la nourriture, j’aurai au moins rapporté quelques choses, même s’ils allaient me faire la gueule pour n’avoir rien dis. Je n’en avais que faire, je comptais faire ce que bon me semble, je ne dépendais de personne. Puis, ils seront bien heureux quand je remplirais leurs estomacs de nourriture, surtout les chips. Joshua ne peut résister face à un bon gros paquet de chips. Il commençait à ne plus avoir de place dans le sac que je transportais, je pris soin de reprendre mon fusil à portée de main. Nous parlions des endroits… La zone… Elle était sécurisée, j’aimais l’idée de me retrouver dans un endroit sur où je pourrais me poser tranquillement, profiter d’un minimum de confort, mais je n’aimais pas l’idée de voir d’autre gens comme nous.

J’avais peur que le quotidien que j’avais avec Joshua et Ezeckiel disparaisse là-bas. Je n’étais pas prête à changer… « La zone ? Mais vous n’y êtes pas encore ! C’est dans l’Arizona, tu ne peux pas la rater ! C’est limite plus grand qu’une base militaire, ta du grillage des tours etc. Bref pour tuer les zombies qui s’en approchent… Pour y rentrer, c’est chaud… Ils guettent les moindres blessures, ils ne veulent pas prendre de risque… Et pour en sortir c’est pareil. On n’y va jamais avec Elli. On a un studio à nous là-bas. Mais… On a tellement galéré pour sortir qu’on a dû y aller deux fois… C’est vraiment pour se reposer quoi. » Dit-elle tout doucement, s’approchant de moi par la même occasion. Je la fixais, me rendant compte que j’avais encore moins envie de me retrouver dans cette zone, si nous ne pouvions plus y sortir comme il faut. Je n’aimais pas cette idée, j’en toucherai surement un mot aux garçons, mais comment leurs expliquer que j’ai vu ma meilleure amie, si elle repart de suite, je sens qu’ils vont me prendre pour une folle, finalement, ne le suis-je pas un peu. Je regardais ma meilleure amie, persuadée que s’en était fini, combien de temps avant de se revoir, combien de temps pour n’avoir ne serai-ce que des nouvelles ? Elle me prit dans ses bras, respirant son doux parfum. Je ne pus contrôler cette larme glisser le long de ma joue, alors que j’essayais de graver son odeur dans mes souvenirs, ne pas oublier, je ne voulais pas l’oublier. Elle referma un peu plus son emprise sur moi, ce qui eu l’effet de me rassurer, même si je savais que tout cela ne durerai donc jamais… Le bonheur nous est complètement interdit où s’il existe, il était de courte durée, s’effaçant alors, comme par magie, la mauvaise magie. « Je pars dans … En fait s’il faut Tybalt est entrain de me chercher, je ferais même mieux de sortir dans la rue pour ne pas l’inquiéter… On part dans le sud… On a … En quelque sorte, chacune sa vie aujourd’hui… Mais Caroline bon sang tu es vivante ! Il y a des ordinateurs des téléphones à la zone ! Si je capte là ou on va je pourrais te contacter, ou toi me contacter et vis versa. » Souffla-t-elle doucement, alors que je connaissais déjà l’issu de tout cela, je savais que ce n’était pas possible, qui possédait encore un téléphone ? Personne, nous n’avions plus depuis longtemps ce genre de communication, je ne portais jamais cela, ayant bien trop peur qu’ils arrivent à nous retrouver à cause de cela. Je ne disais rien, me renfrognant dans un mutisme que je connaissais désormais. Elle m’embrassa sur le bout du nez, les joues, le reste de mon visage, comme une gamine, j’appréciais cela, j’en retrouvais un sourire de façade alors qu’elle me lâcha, prenant son sac sur l’épaule, je ne la quittais pas des yeux.

« Ou au détour d’une route… On se retrouvera peut-être et cette fois-ci tu me sauveras. » Dis-je en ricanant même si je savais cela quasi impossible de la croiser une nouvelle fois, par hasard qui plus est. « Bon sang, il va me tuer… Laisse-moi faire hum, et ne parle pas du zombie que tu as flingué pour me sauver… Il se fait trop de souci pour moi, et je ne veux pas le rendre malheureux… Je n’aime pas quand on se dispute légèrement. Ty… Compte beaucoup pour moi. Même si… pour lui je ne suis que sa sœur de cœur… » Souffla-t-elle, alors que j’observais l’importance de ses mots, cette façon qu’elle avait de me parler de lui. Il était désormais sur qu’elle était raide dingue de ce dernier, qu’il avait une très grande place dans son existence, je l’enviais… Sans pour autant le détester, il prenait soin de Jo’, elle méritait cela, j’espérais juste qu’il ressent à son tour les mêmes sentiments. Je lui esquivais un sourire, afin de la rassurer sur mes intentions, ne pas lui parler du zombie. Une vraie gamine… « Croix de bois, croix de fer, je ne dirais rien sur le zombie ! » Dis-je tout en ricanant légèrement. Nous sortions de la boutique, le soleil m’aveuglant légèrement. J’essayais de ne pas penser à cela, les adieux, les déchirements, nous étions trop heureuses de se revoir, impossible de pleurer cela, pourtant, ma gorge se noua quand elle me teint la porte, c’était l’heure… Je ne voulais pas me résigner à une telle épreuve. « Caroline ? Je t’aime tu le sais ? J’ai jamais cessé de t’aimer… Tous les jours j’ai pensé à toi. Tout le temps. Ma caroline en fauteuil roulant, ma Caroline lors de l’accident et bien sur avant. Tout le temps tous nos moments… Ne l’oublie jamais… » Murmura-t-elle, alors que je ravalais mes larmes. Je regardais autour de nous, il n’y avait pas un bruit, ce qui était d’autant plus déplaisant, frissonnant. Je me tournais vers elle, prenant délicatement sa main, dans l’autre je portais mon arme à feu, mon meilleur ami de ses dernières années. « Moi aussi jt’aime. Prends surtout soin de toi, je ne voudrais pas qu’il t’arrive quoique ce soit, okay… » Ma voix remplit de sanglots, je caressais délicatement sa joie, souriant… Alors que les larmes me montèrent comme à chaque fois, à chaque fois qu’on se disait adieux, à chaque fois que le temps passe et vous volent les gens que vous aimez. « Tu vas tellement me manquer. » Une dernière fois, je m’accrochais à son cou, comme si elle allait s’enfuir. Je respirais son doux parfum, embrassais sa joue avec délicatesse, persuadée que c’était la dernière fois, elle était vivante, le plus important… Mais c’était douloureux, de dire au revoir aux gens qu’on aime…
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A. Jordane Mcflits

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J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... _
MessageSujet: Re: J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite...   J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Icon_minitimeJeu 3 Fév - 16:09

J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472246-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Ashley-3-ashley-greene-17472351-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472029-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Ashley-3-ashley-greene-17472334-100-100
Parfois, pour embellir une journée. Il suffit de retrouver son amie que l'on croit défunte. Alors, dans ces moments là. Votre amour ressurgit. Et vous vous rendez compte que votre vie est parfaite, en la regardant simplement. Car c'est elle qui détient une partie de votre existence...


Zombie, ce mot raisonnait dans ma tête, comme un batteur pouvait frapper sa batterie en plein concert…Oui il raisonnait en moi tant ce mot me hantait, je haïssais ce mot. Je le détestais au plus haut point, oui… Comment l’aimer ? Qui pouvait vraiment l’aimer ? Sincèrement, je n’en savais rien… C’était bizarre et à la fois horrible, ils m’avaient volé ma vie, ils avaient fait de moi une fille apeurée, une fille dépourvu de sentiment et de vie. Ils m’avaient volé, ma famille mais aussi ma meilleure amie, ma Caroline, celle pour qui j’étais capable de tout. Celle pour qui je faisais tout. Je me rappelais parfaitement de notre vie d’avant… Du fait que je l’aidais pour apprendre à marcher j’étais là, je faisais tout pour elle, telle une meilleure amie, telle une sœur tout simplement car au fond c’est ce qu’elle était réellement pour moi. Une sœur dont je devais m’occuper. Elle n’avait que moi et son frère à l’époque bossait trop pour pouvoir s’occuper d’elle. J’avais fait mon devoir… Et pour moi c’était tout naturel… et la retrouver après trois ans… C’était un choc, la voir en si bonne forme, alors qu’elle devait faire attention, je pariais qu’elle souffrait mais qu’elle ne disait rien. Je la connaissais plus que par cœur… Elle ne pouvait pas avoir de secret pour moi, je savais en un simple regard ce qu’elle pensait, si elle était énervée ou pas, si elle aimait ou pas… Bref, c’était ainsi entre nous, je savais qu’un petit rictus sur ses lèvres pouvait dire tel ou tel chose… La revoir me faisait un bien fou, surtout qu’elle venait de me sauver la vie. Comment ne pas la remercier ? C’était un prêté pour un rendu en quelque sorte… Oui, elle m’avait sauvé la vie, comme moi je m’étais occupé d’elle pendant toutes ses années afin qu’elle puisse remarcher. Mais aujourd’hui, nous voilà a d’autre occupations, j’avais les miennes et elle avait les siennes. Moi c’était tout simplement Tybalt, oui c’était la seule chose pour laquelle je me préoccupais.

Je faisais en sorte qu’il puisse manger assez convenablement, je mangeais moins que lui, car je n’avais pas besoin de beaucoup de nourriture… J’essayais de lui trouver de la viande, on fouillait pas mal d’immeuble et d’appartement à la recherche d’un congélateur qui marche afin de pouvoir faire cuir la viande. En général on trouvait de temps en temps… Je faisais en sorte aussi qu’il puisse avoir des fringues comme il les aime et non pas des fringues n’importe comment, j’étais vraiment à ses soins, j’étais ainsi… Et Caroline devait surement faire pareille avec ses deux hommes, son frère et ce nouvel arrivant. Tel que je la connaissais, oui elle devait le faire et pas qu’un peu. Nous étions pareilles au fond. Nous n’étions pas meilleure amies pour rien après tout… Non Caroline allait sincèrement me manquer. Nous venions à peine de nous retrouver… Et voilà que nous allions à nouveau être séparés… Pour combien de temps ? Je n’en savais rien, est ce que j’allais la revoir seulement ? Peut être à la zone si elle y allait ? Je n’en savais rien et sa me minait le moral de voir que nous allions à nouveau nous séparer. Après seulement quelques minutes de discussion, sans pouvoir faire plus, nous devions chacune partir, de notre côté, surtout moi… Je ne le voulais pas réellement, je ne voulais pas partir et la quitter ainsi, mais nous n’avions réellement pas le choix. La prenant sans attendre dans mes bras, je la serrais de plus en plus fort. Je ne pouvais que me souvenir de tous ces câlins que nous nous faisions à l’époque ou tout cela n’existait pas. Ou juste son problème de jambe existait, ou aucun zombie n’était sur cette fichue terre. Et dire qu’à l’époque on se plaignait de tout et de rien. Maintenant on pouvait vraiment dire que l’on vivait un enfer, car nous y étions… « Ou au détour d’une route… On se retrouvera peut-être et cette fois-ci tu me sauveras. »

Rigolant doucement, je la regardais attentivement, ma meilleure amie, mon tout, la petite femme de ma vie. Moi la sauver ? Ce jour malheureusement n’était pas près d’arrivé, je me figeais sur place dès que je devais tirer pour tuer un zombie j’étais incapable… incapable de me défendre, j’étais une proie faible, une humaine sans courage… Alors que quand il s’agissait de crier sur un humain, de le gifler car il largue ma meilleure amie, ça je savais le faire… Pourquoi ? Pourquoi je n’arrivais pas à appuyer sur la gâchette ? Je n’en savais foutrement rien et ça me tué plus qu’autre chose. « Oui, peut être bien ! D’ici là, j’aurais appris à me battre et a contrôler ma peur devant un zombie ! Bon sang, Caroline, j’espère vraiment… Que l’on se reverra bientôt… » Soufflais-je doucement en avançant un peu plus. Tybalt allait peut être m’en vouloir… Mais ça m’avait permis de retrouver ma meilleure amie, la femme de ma vie. Rapidement, sans attendre, je lui demandais alors de ne rien dire a celui-ci pour le zombie. Il était clair que sinon, je passerais un sale quart d’heure, il m’engueulerait encore pour avoir fait l’idiote… Je ne pouvais que le comprendre mais sur ce coup là il était hors de question que je regrette mon acte, car je l’avais revu, je l’avais retrouvée… Et je ne pouvais pas la négliger ainsi ! Pas elle, surtout pas elle ! Non jamais ! Caroline était Caroline ! « Croix de bois, croix de fer, je ne dirais rien sur le zombie ! » Lui tenant la porte pour qu’elle puisse sortir du bâtiment, je la laissais passer en refermant celle-ci doucement sans faire de bruit. Le silence de la rue me fit froid dans le dos, je ne m’habituerais jamais à ce silence de… Mort. Sans rien répondre, je regardais autour de nous. Rien, absolument rien. La voiture de Tybalt et moi était toujours là et vide. Me cherchait-il ? Je n’en savais rien, il n’avait pas l’air d’être dans les rues. Inspirant doucement, je me tournais vers ma meilleure amie pour lui dire combien je l’aimais. Sa main attrapant la mienne, je me figeais doucement serrant alors sa main de toutes mes forces.

Ce contacte réussissait à me rendre folle, je ne pouvais pas la laisser partir, je ne pouvais pas me séparer d’elle. Les larmes montant aux yeux, je reniflais doucement. Je ne devais pas pleurer, il fallait être forte… Oui très forte… « Moi aussi jt’aime. Prends surtout soin de toi, je ne voudrais pas qu’il t’arrive quoique ce soit, okay… » Regardant Caroline, je me mis alors a pleurer comme une idiote. Les larmes coulant le long des mes joues, je gémissais doucement, posant ma main sur ma bouche. Je me laissais aller, évacuant trois ans de souffrance, trois ans sans elle, et voilà après avoir passé dix minutes avec elle, je devais la quitter. « Caroline, je t’aime ! Je t’aime putain de fort ! Ne l’oublie jamais d’accord ? Tu fus et tu es mon rayon de soleil de tous les jours ! Tu es ma meilleure amie, ma femme, un tout ! J’aurais tellement être avec toi pendant toutes ses années ou tu avais besoin de moi ! Ou j’avais besoin de toi ! » Dis-je d’une voix coupé, ne cessant de pleurer. Voyant quelque chose bouger au loin derrière elle, je vis alors Tybalt sortir de l’immeuble. Nos regards se croisant. Il devait se demander ce que je faisais la avec une femme inconnu pour lui. Tout à coup, elle me prit par le cou me tirant contre elle. Baissant le regard j’encerclais ma meilleure amie de mes bras. « Tu vas tellement me manquer. » La serrant plus fortement j’enfouissais mon visage dans son cou pleurant de plus belle. La berçant doucement, je passais mes mains dans ses cheveux l’embrassant alors sur la joue et tout son visage. « Caroline, tu vas me manquer aussi, comment vivre a présent loin de toi ? Dis le moi… Line… » Soufflais-je doucement en relevant la tête voyant Tybalt s’approcher légèrement mais sans plus, son regard me faisant comprendre qu’il ne comprenait pas ce qu’il se passait.

Reniflant doucement, je serrais encore plus Caroline dans mes bras en marchant doucement vers Tybalt. « Il est là… » Soufflais-je doucement. La lâchant, je passais mes mains sur son visage, tirant ses cheveux en arrière. « C’est l’amour de ma vie, je l’aime à en crever… Alors j’espère qu’il te plaira… Un seul regard de ta part pour me faire comprendre… Je veux savoir… Ce que tu penses de celui qui à enfin voler mon cœur… Et je pense… Que tu vas le reconnaitre… C’est le chanteur donc j’étais folle au lycée celui qui est en poster dans ma chambre… Mais chut ! » Dis-je nerveusement mon cœur s’emballant fortement. Prenant sa main, je marchais vers Tybalt, le regardant droit dans les yeux. Tournant le visage vers Caroline, je lâchais doucement sa main pour alors sautant dans les bras de Tybalt. « Elli ! Désolée… Mais… Je ne pouvais pas, ne pas sortir de la voiture ! Tu te rappelles… Je t’avais parlé de ma meilleure amie Caroline… Et bien la voici ! » Dis-je en le lâchant, lui faisant un regard désolée pour qu’il me gronde plus après que devant elle. Je ne voulais pas gâcher les quelques minutes, secondes qui me restaient auprès d’elle. Me tournant vers Caroline j’allais avec elle la prenant dans mes bras. « Caroline, je te présente Tybalt, mon sauveur, mon tout ! Tybalt, je te présente Caroline, ma meilleure amie, femme, confidente ! » Dis-je doucement en tournant un regard complice vers elle en essuyant une larme qui coulait sur ma joue, ne pouvant pas les contrôler.
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Pâris Spinelli
Chanteur sans micro ...
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J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... _
MessageSujet: Re: J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite...   J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Icon_minitimeDim 13 Fév - 23:49

J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... 33e61s9 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... 005kh J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... 021
« C'est lorsque l'on cesse de chercher,
que l'on retrouve ce que nous avions perdu. »

Une batte de base ball … Est-ce que ça valait le coup de remonter dans l’appartement qu’ils avaient occupés, durant la nuit, simplement pour une batte de base ball ? Certes ce n’était pas n’importe quelle batte … En fer, lourde, elle était parfaite lorsqu’elle entrait en contact avec violence dans la tête d’un zombie. Depuis que Jordane la lui avait ramenée, même si cette imbécile dont il était amoureux avait risqué sa vie pour ça, il ne la quittait plus d’un pouce. C’était terriblement pratique en cas de combat rapproché avec un zombie déchaîné qui savait se défendre. Certes la plupart du temps il n’avait qu’à sortir une arme et tirer. Hop, fin de l’histoire on en parle plus ! Mais dans certaines situations, c’était justement à proscrire. Tout simplement parce le bruit pouvait bien attirer d’autres zombies. Et honnêtement … Se retrouver bloqué, avec Jordane évidemment, dans un immeuble, à cause d’une armée de zombies, ce n’était pas le genre de chose dont il avait envie. Tout simplement parce que ça revenait à du suicide, pur et simple. Bien sûr en extérieur, ça ne le dérangeait pas le moins du monde de provoquer les zombies par des dizaines, et plus encore. A la vérité, ça l’amusait même plus qu’autre chose. C’était tellement hilarant de les voir courir comme des dératés, bras levés vers eux comme dans l’espoir de pouvoir les attraper alors qu’ils se trouvaient à plusieurs mètres derrière eux. Avec cela, comment ne pas les trouver pathétiques ces êtres abjectes ? Tybalt adorait … Il les trouvait franchement hilarant. C’était étrange, et cela paraissait sans doute même horrible. Mais c’était ainsi … Il ne pouvait s’empêcher de prendre plaisir à les provoquer inlassablement, encore et encore … Juste pour le plaisir de les voir leur courir après alors qu’ils n’avaient pas la moindre chance de les rattraper. Jordane et lui étaient beaucoup trop habitués à courir à présent, pour pouvoir se faire attraper par l’un d’eux. De plus, ils n’étaient pas idiots non plus. Lorsque l’un d’eux se sentait faible ou fatigué, ils fonçaient sans s’arrêter, ou le stricte minimum, en direction de la zone, pour se reposer quelques jours, voir plus parfois. Et lorsqu’ils en repartaient, ils étaient plus en forme que jamais, totalement requinqués l’un comme l’autre.

Soupirant un bon coup, Tybalt se força à revenir à sa question existentielle du jour. Remonter, ou non, pour récupérer la batte de base ball pour laquelle Jordane avait risqué sa vie, en la laissant elle-même dans la voiture en attendant ? Il détestait l’idée de la laisser ici, seule. Mais il serait très stupide de l’emmener avec lui … Oui mais il savait très bien qu’elle était parfaitement incapable de tirer sur un zombie, même avec toute la meilleure volonté du monde. Mais il aurait amplement le temps de monter récupérer cette foutue batte et redescendre, avant même qu’un zombie ait eut le temps de venir à bout d’un carreau de la voiture. Oui … Mais s’ils étaient plusieurs ? Stop ! Trop de mais, tue le mais ! Il allait monter pour la récupérer cette batte en faire, il ne pouvait faire autrement. Non seulement il en était devenu totalement dépendant. Mais aussi, et surtout, il connaissait trop Jordane … Elle n’allait pas le laisser très longtemps sans cela et était bien capable de partir à la recherche d’une nouvelle, qu’il soit au courant ou non. Après tout, elle l’avait bien fait durant son sommeil la première fois … D’ailleurs, il avait été bien incapable de lui faire une scène pour cela et s’énerver pour de bon, tant il avait été soulagé et fou de joie de voir qu’elle était en vie et en un seul morceau, après la frousse terrible qu’il avait eut en ne la trouvant pas dans l’appartement. Depuis ce jour d’ailleurs, il ne dormait plus qu’à moitié, encore moins qu’avant. Un seul mouvement de Jordane dans son sommeil, suffisait à le faire se redresser, sur ses gardes et près à attaquer quiconque apparaissant dans son champ de vision. Il avait une confiance aveugle en elle et ne doutait pas qu’elle ne recommencerait plus ce genre de chose … Pourtant ce n’était pas la première fois qu’elle faisait une telle chose. Et à chaque fois, il se forçait à oublier et à se dire qu’elle ne recommencerait plus parce qu’elle savait qu’il se tuait de peur pour elle, pour un rien. Plus elle faisait ce genre de faux pas dans son dos et plus il était nerveux, anxieux, sur le qui vive et près à bondir sur tout ce qui bougeait et n’était pas son Or. A croire qu’il n’était pas déjà assez nerveux et tout ce qui allait avec, avant qu’elle ne se mette à faire de telles choses. Bien sûr il allait garder le silence là-dessus pour ne pas l’inquiéter. C’était peut-être de sa faute … Mais ce n’était pas une raison suffisante pour lui dire quoi que ce soit à ce sujet.

Une fois sa décision prise, Tybalt apprit à la jeune femme son intention de remonter à l’appartement pour récupérer la batte de base ball qu’il avait oublié, n’ayant pas encore prit l’habitude d’avoir cela avec lui. Même si c’était merveilleusement pratique, à n’en pas douter une seule seconde ! Comme à chaque fois qu’il devait s’éloigner, même pour un très court instant, Tybalt lui fit toute une série de recommandation, qu’elle prit soin d’écouter. Restait à espérer, surtout, qu’elle les appliquerait. Comme toujours, Ty lui faisait confiance … Même si elle avait bafouait cela un peu trop souvent à son goût. Il était bien obligé de prendre le risque. Il n’allait pas passer sa vie, aussi courte soit-elle, à ne pas faire confiance à celle qu’il aimait et pour laquelle il était près à tout. Une nouvelle fois, la dernière se promit-il, il s’assura qu’elle avait bien une arme et qu’elle était chargée. Il avait beau savoir qu’elle était incapable de tirer, quelque soit la situation, il ne pouvait s’empêcher d’espérer qu’en cas de très extrême danger, elle saurait en faire, enfin, usage. Au moment de descendre de la voiture, Tybalt donna une petite tape sur la joue de la jeune femme, qui posa alors son arme sur son front. Ce qui eut le don de le faire rire puisque l’arme n’était pas déverrouillé. C’est donc sans attendre qu’il lui en informa avant de s’en charger lui-même et de la lui rendre. Comme de plus en plus fréquemment, elle prit ensuite le jeune homme dans ses bras pour le serrer doucement. Sait-on jamais … C’était peut-être la dernière fois. Mais non … Ne jamais partir ainsi défaitiste ! Et comme un peu trop souvent à son goût, Jordane approcha son visage du sien pour, finalement, poser un baiser sur sa joue, près de ses lèvres. Elle allait réellement fini par le tuer à ce rythme là ! Répondant à son je t’aime, il quitta enfin le véhicule, lançant un regard alentour pour vérifier qu’il n’y avait aucun mort vivant à l’horizon. Et comme il put le constater rapidement, ce n’était pas le cas. Il pouvait donc partir l’esprit léger. Un dernier regard vers la voiture et le jeune homme pressa le pas pour rejoindre l’immeuble, s’engouffra dedans, arme au poing, sans oublier de vérifier du coin de l’œil chaque coin et recoin des lieux qu’il traversait rapidement. Sans attendre, il monta rapidement dans l’appartement qu’ils avaient occupé durant la nuit, et retrouva la batte toujours présente près du lit. Il replaça l’arme sous sa veste et resserra fortement sa main autour du manche de la batte, quittant tout aussi rapidement l’appartement pour ne pas faire attendre Jordane. Mais aussi, et surtout, parce que le simple fait de ne pas la voir et d’être à une trop grande distance d’elle, lui était tout bonnement insupportable.

Ce fut donc presque en courant, qu’il redescendit tous les étages, se projetant presque hors de l’immeuble. Son regard fut aussitôt attiré par Jordane, qui le vit arriver, par-dessus l’épaule d’une jeune femme brune qu’elle tenait dans ses bras. Ne comprenant plus rien, il quitta lentement l’immeuble, sans les quitter du regard, oubliant même de surveiller qu’aucun zombie n’était dans les parages. A plusieurs reprises, son regard alla des deux brunes à la voiture, avant de revenir à elles, comme s’il pouvait trouver une explication à tout cela. Qui était cette femme et pourquoi Jordane n’était plus dans la voiture. Elle savait pourtant qu’elle ne devait pas en sortir, pour quelque raison que ce soit. Un moment plus tard, Tybalt s’arrêta en plein milieu de la route, sans savoir que faire. Voir même … Sans savoir si Jordane allait faire quelque chose. Elle n’avait pas bronché en le voyant arriver … C’était que cette femme devait être importante. Plus que lui ? Tout était possible. Elle devait vraiment la connaître pour l’ignorer lui. Cela pouvait paraître prétentieux de sa part mais il avait toujours été persuadé que peu importe la personne avec laquelle elle se trouverait, elle le ferait toujours passer avant. Parce qu’elle n’avait plus que lui … Tout comme lui, n’avait plus qu’elle. Contre toute attente, alors que Tybalt s’était arrêté pour laisser passer les choses, se faisant simple spectateur, Jordane se détacha enfin de la jeune femme, pour s’approcher de lui en la tenant par la main. A aucun moment Ty ne détourna son regard de celui d’Or, comme s’il pouvait y trouver une réponse ou quoi que ce soit qui puisse le mettre sur la piste. Parce qu’à l’instant, il ne comprenait plus rien à rien. Lorsque la brune s’approcha seule de lui pour lui sauter dans les bras, il passa les siens autour de sa taille en geste automatique, pour la serrer contre lui, restant silencieux. « Elli ! Désolée… Mais… Je ne pouvais pas, ne pas sortir de la voiture ! Tu te rappelles… Je t’avais parlé de ma meilleure amie Caroline… Et bien la voici ! » Elle avait été obligée de sortir de la voiture ? Pour quelle raison ? A cause de … Caroline ! Sa meilleure amie ? Mais il la croyait morte … Elle aussi d’ailleurs, n’avait eut de cesse de répéter qu’elle devait être morte. Génial … Quelle chance ! Il n’y avait que dans les films que ce genre de retrouvailles pouvait avoir lieux … Pourquoi lui-même n’avait jamais eut droit à cela ? Parce qu’il ne le méritait pas peut-être ? Vu le nombre de membres qu’il avait dans sa famille ou le nombre d’amis qui l’avait toujours entouré, il aurait au moins put espérer retrouver ne serait-ce qu’une personne. Etait-il jaloux ? Oui ! Clairement oui ! Pourquoi venait-elle de retrouver quelqu’un qui lui était cher alors que lui restait désespérément seul … Il n’était plus la seule personne qui lui restait. C’était cruel mais il aurait préféré rester cette seule personne qui lui restait, la seule sur qui elle pouvait compter … Mais ce n’était plus le cas à présent puisque sa meilleure amie n’était finalement pas morte.

Croisant son regard lorsqu’elle se détacha de lui, il pinça les lèvres pour ne rien dire, ne commentant pas le fait qu’elle avait quitté la voiture alors qu’il le lui avait formellement interdit. Totalement impuissant, Tybalt la laissa se détacher de lui pour retourner auprès de son amie, qu’elle prit dans ses bras sans attendre. Totalement figé, le jeune homme fut incapable de se tourner vers la dénommée Caroline, incapable de regarder ailleurs qu’en direction de Jordane. C’était peut-être idiot mais il avait l’impression de la perdre. Oui, pour la première fois, il la voyait proche d’une autre personne que lui … Une personne qui connaissait son passé, qui connaissait tout d’elle, qui plus est. Lui qui était-il à côté de cela, si ce n’est un type qu’elle connaissait depuis un an et demi ? Certes il l’avait sauvé … Mais sur toute une vie ça ne représentait pas grand-chose selon lui. N’importe qui la voyant dans cette bouche de métro l’aurait sauvé. Il était n’importe qui … Alors que cette fille était Sa meilleure amie. « Caroline, je te présente Tybalt, mon sauveur, mon tout ! Tybalt, je te présente Caroline, ma meilleure amie, femme, confidente ! » Il était son tout ? C’était vite dit ! A présent il n’était plus que son sauveur. Autant dire bien peu de choses à côté de sa « femme ». Désireux de faire bonne figure et ne pas se ridiculiser comme un type transi amoureux qui voyait qu’il perdait celle qu’il aimait, il tourna enfin le regard vers la jeune femme qui lui était inconnue jusqu’à présent, lui souriant faiblement. « Ravis de voir que tu en v … En un seul mor … Enfin que tu vas bien au vu des circonstances actuelles ! Et ravis de te connaître … » C’était sans doute horrible de penser ainsi … Mais si elle avait été morte, Jordane serait restée avec lui et il aurait toujours été la seule personne qu’elle avait. Alors qu’à présent, elle allait sans doute vouloir partir avec elle. A moins que ce ne soit elle qui vienne … Mais pour avoir survécut tant de temps, elle ne devait très certainement pas être seule. Quoi qu’il en soit, Jordane préférerait sans doute la suivre … Quant à lui, il préférait encore rester seul plutôt que de devoir suivre les ordres et les mouvements d’un petit groupe de personne. Et puis il ne manquerait absolument pas à la jeune femme puisqu’elle avait retrouvé sa meilleure amie. Ne restait plus qu’à espérer qu’elle irait bien. Bon sang il était en train de se faire du mal. Tentant de cacher son brusque mal être et ses pensées destructrices, il souffla doucement avant de sourire d’un air enjoué. Sourire totalement faux et qui, à ses yeux, devait plus ressembler à une grimace qu’à autre chose. « Alors vous vous êtes retrouvées ! C’est … wow … C’est génial hein !? Après tout ce temps il y avait une chance sur … Des millions ! »



[hj : ça fait bizarre d'arriver en plein rp comme ça. J'espère ne pas avoir fais d'erreur et de n'avoir rien oublié Oo]
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Se fait une place
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M. Caroline Campbell

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J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... _
MessageSujet: Re: J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite...   J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Icon_minitimeLun 21 Fév - 6:06

J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... 10s7o7s J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... 0003xxy7 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... 004chdzb

‘‘Un des plus grands bonheurs de cette vie, c'est l'amitié ; et l'un des bonheurs de l'amitié, c'est d'avoir à qui confier un secret. ’’

Comme deux idiotes au bord d’une route, nous pleurions à chaudes larmes, comme si le destin se jouait maintenant. Le destin se jouait maintenant, je le sentais… Et j’en étais d’autant plus effrayée à cette sombre idée, je ne voulais pas de cela, je ne voulais pas que ce soit la dernière fois que mon regard se pose sur elle, je voulais partager avec elle encore plein de moments, qui deviendront par la suite des souvenirs que nous serions heureuses de partager ensemble, une fois vieille et grisonnante. Mais le temps et les lieux avaient eu raison de nous, nous devrions faire avec et subir les effets collatéraux. Nous ne vivions plus ensemble, nous avions d’autres personnes dans nos vies qui comptaient plus que tout, nous devions réussir à nous séparer, le destin en avait décidé autrement n’est-ce pas ? Pourtant, je ne pouvais décemment retenir le flot de larmes qui se déversaient sur mes joues, je ne pouvais retenir mes sanglots alors que j’étais en train de lui dire au revoir. Combien de chance j’avais de la revoir ? Vivante ? Moi vivante ? Pff… Je ne préférais pas me plonger dans ses conclusions bien trop tristes pour moi. « Caroline, je t’aime ! Je t’aime putain de fort ! Ne l’oublie jamais d’accord ? Tu fus et tu es mon rayon de soleil de tous les jours ! Tu es ma meilleure amie, ma femme, un tout ! J’aurais tellement être avec toi pendant toutes ses années ou tu avais besoin de moi ! Ou j’avais besoin de toi ! » Dit-elle d’une voix coupée alors que je la serrais étroitement dans mes bras, sentant la fin, l’adieu se faire sentir. Je voulais profiter, de son corps dans mes bras, de son odeur, de sa présence contre mon cœur. Je voulais une dernière fois pleurer dans ses bras, me remémorer tous ses moments que nous avions partagées, dans l’espoir qu’elle puisse vivre de nouveaux moments comme ceux-là, qu’elle sera heureuse à son tour malgré tout cela, malgré les zombies et la dureté de notre vie. J’avais peur qu’elle ne puisse se défendre seule, j’avais peur de tout, mais je ne devais rien montrer, à mon tour je devais être forte. Pour qu’elle ne s’inquiète en rien de ma vie, de ce que je pouvais supporter. C’était tellement difficile de mettre un point alors que des suspensions seraient tellement plus adaptées à la précarité de nos vies. Elle serra un peu plus son emprise sur mon corps alors que je sentais ses larmes. Elle caressa mes cheveux avec tant de tendresses que je pu retenir les larmes, ses baisers sur ma peau…

Je me sentais partir, vers la tristesse, la peur… L’adieu. « Caroline, tu vas me manquer aussi, comment vivre à présent loin de toi ? Dis le moi… Line… » Me souffla-t-elle alors que je la sentis se redresser. Je la regardais alors, cherchant moi-même une réponse, qui ne venait pas, malheureusement. « Je n’ai pas de réponse… Je n’ai même pas de solution, faire avec surement… A moins que… » Dis-je me coupant alors dans mon élan. Je ne pouvais foncièrement envisager cette solution, n’étant en rien logique, pratique l’une comme l’autre. Comment il en serait autrement, à vrai dire… Je me demandais encore comment avions-nous pu faire pour vivre loin l’une de l’autre, surement en se répétant que l’autre était morte, mais désormais, nous savions… Nous devions faire avec… Elle regarda en direction d’une silhouette qui se rapprochait dangereusement de nous. Automatiquement, je serrais un peu plus mon fusil, ce qui ne servit à rien, en vu du comportement de la miss qui se trouvait près de moi. « Il est là… » Souffla-t-elle doucement alors qu’elle lâchait son emprise sur moi, me caressant le visage, mes cheveux, plongeant son regard dans le mien. J’eus ce qu’on peut appeler un frisson, tant son regard était vif, intense. Elle ne comptait pas me raconter une blague sans intérêt. « C’est l’amour de ma vie, je l’aime à en crever… Alors j’espère qu’il te plaira… Un seul regard de ta part pour me faire comprendre… Je veux savoir… Ce que tu penses de celui qui à enfin voler mon cœur… Et je pense… Que tu vas le reconnaitre… C’est le chanteur donc j’étais folle au lycée celui qui est en poster dans ma chambre… Mais chut ! » Rajouta-t-elle nerveusement, alors que je manquais de mots, me rendant compte l’importance que cet homme avait pris dans sa vie. Je l’enviais dans un sens sans pour autant le haïr, il l’avait sauvé, il était près d’elle, elle l’aimait… A mon tour, je me sentis sombrer doucement, alors que nous marchions main dans la main vers cet inconnu. Je me rappelais alors de cette vie que nous avions il n’y a pas si longtemps que cela, quand la vie tournait rond. La musique, ce groupe, ce chanteur. Qu’est-ce qu’elle avait pu me souler avec ce dernier, comme quoi il chantait trop bien, qu’il était trop sexy, qu’il était trop beau, qu’il était parfait. Elle lâcha ma main alors qu’elle sautait dans les bras de cet inconnu à mes yeux. Silencieuse, je l’observais alors que je me rendis compte qu’elle était réellement amoureuse de ce jeune homme, qu’elle avait une confiance aveugle en lui, qu’elle… Elle l’avait trouvé alors que rien n’allait, elle trouvait celui qui ferait non sans mal battre son cœur. Il la serra dans ses bras, alors que je les regardais, me sentant soudainement de trop. « Elli ! Désolée… Mais… Je ne pouvais pas, ne pas sortir de la voiture ! Tu te rappelles… Je t’avais parlé de ma meilleure amie Caroline… Et bien la voici ! » Dit-elle évitant alors la dispute, je trouvais cela touchant, ce comportement. S’il venait à la disputer pour cela, j’étais du même avis que lui, il ne fallait pas qu’elle joue avec sa vie, mais il est vrai que je ne supportais pas à mon tour que quelqu’un puisse m’étouffer, je ne supportais pas quand Joshua ou Ezeckiel désiraient me voir rester dans la voiture.

Alors, je comprenais… Il posa son regard sur moi, je lui fis un signe de la main, afin de me présenter, alors que j’étirais un énorme sourire en direction de la jolie brunette qui s’était de nouveau rapprocher de moi, me prenant dans ses bras. Je lui fis un sourire qui voulait en dire long, même si je n’arrivais pas à capter ce qu’il pensait de tout cela. Distant, il l’était mais je comprenais, nous étions redevenu méfiant de tout, même de moi, la jolie petite brunette crasseuse. Crasseuse…J’avais presque oubliée dans quelle état je me trouvais, je détournais rapidement le regard alors qu’elle mettait beaucoup d’enthousiasme à nous présenter mutuellement. « Caroline, je te présente Tybalt, mon sauver, mon tout ! Tybalt, je te présente Caroline, ma meilleure amie, femme, confidente ! » Je souriais me sentant rougir quand elle parla de moi comme sa femme, c’était quelque chose qu’elle n’avait pas oublié. Je regardais alors cet inconnu, qui me disait que vaguement quelques choses, c’est que le temps et les épreuves avaient eu raison de nous. Je regardais surtout l’expression de son visage, cherchant à comprendre ce qu’il pensait, ces intentions vis-à-vis de ma meilleure amie. « Ravis de voir que tu en v … En un seul mor … Enfin que tu vas bien au vu des circonstances actuelles ! Et ravis de te connaître … » Dit-il alors que je lâchais un léger rire avant d’embrasser tendrement la tempe de ma meilleure amie, manière détournée de lui rappeler que non je n’étais pas morte ou quoique ce soit s’y ressemblant. Je voulais la rassurée aussi, alors que je la sentais si tendue à l’idée de connaitre mon point de vue. Je tournais alors mon regard vers lui, ne mâchant pas mes mots. « Ravis de te connaitre, ravis que tu sois là pour elle… » Je faisais un clin d’œil en direction de Jordane. « En d’autre circonstance je t’aurai menacé de castration si tu lui faisais le moindre mal… » Le silence s’interposa, avant que je n’éclate de rire. Ce qui me fit rire, pas forcement les autres, qu’importe… « Mais ce n’est pas le cas… C’est chouette, que tu sois là… » Je n’étais en rien douée, lui aussi… Il était songeur alors que je pouvais non sans mal imaginer ce qu’il pensait de tout cela, je devais cesser cela, essayer de le comprendre, alors que je n’avais rien à faire, je devais me taire, m’éclipser, il n’avait rien à craindre de moi, je n’étais que sa meilleure amie, nos chemins allaient se perdre… S’éloigner, se séparer. Se dire au revoir… « Alors vous vous êtes retrouvées ! C’est … wow … C’est génial hein !? Après tout ce temps il y avait une chance sur … Des millions ! » Finit-il par dire alors qu’il avait tellement raison. Je regardais un instant Jordane un sourire sur les lèvres, avant de la prendre dans mes bras une dernière fois, la dernière fois ? Il faut croire, je lui susurrais à l’oreille alors, pour qu’elle seule entende… « Il est jaloux. » Je la lâchais, caressant tendrement sa joue avant de le regarder… « Se retrouver pour se quitter. Mon frère va finir par me croire morte, ça lui fera les pieds de me revoir, idem pour Ezeckiel. Je vais… On a eu de la chance poulette… » Cette fois-ci je la regardais, elle… Essayant de ne pas fondre en larmes une nouvelle fois. « … De se retrouver, mais on doit… T’es en sécurité, c’est tout ce qui compte… »
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A. Jordane Mcflits

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J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... _
MessageSujet: Re: J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite...   J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Icon_minitimeLun 14 Mar - 6:31

J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Sophia-3-sophia-bush-17472246-100-100 J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... 005kh J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Ashley-3-ashley-greene-17472334-100-100
Parfois, pour embellir une journée. Il suffit de retrouver son amie que l'on croit défunte. Alors, dans ces moments là. Votre amour ressurgit. Et vous vous rendez compte que votre vie est parfaite, en la regardant simplement. Car c'est elle qui détient une partie de votre existence...


S’il y avait bien une situation des plus complexe c’était bien celle là. Je me retrouvais la dans cette ruelle avec ma meilleure amie, que je croyais défunte depuis bien trop longtemps à mon gout. Une meilleure amie qui m’avait réellement manqué pendant tout ce temps, cette même meilleure amie que j’avais attendue pendant cinq semaines lorsque je m’étais enfermé dans notre appartement. Cette même meilleure amie que je n’avais point retrouvée en partant… Non, trois ans, trois longues années sans elle… trois longues années à pleurer sur sa mort à lui parler dans ma tête comme pour savoir si elle m’entendait, si elle me voyait de là ou elle était… Mais en fait elle n’était pas morte, non elle était tout sauf cela… Elle était même bien vivante, oui en chair et en os, elle était là devant moi, elle m’avait sauvé la vie, on ne faisait que cela de toute façon avec moi. On me sauvait la vie constamment et moi je faisais quoi ? Je sauvais la vie à qui ? Je me le demande bien … Je ne sauve la vie de personne, même pas celle de Tybalt, puisqu’à chaque fois que j’en ais l’occasion, je ne sais rien faire. Figer dans ma peur, dans ma hantise de tuer, je n’arrive pas a tirer ou a faire quoi que se soit. J’étais ainsi, une trouillarde, une peureuse, alors que je n’hésitais pas à claquer des humains à gueuler à élever la voix, mais contre un zombi rien… Absolument rien, et maintenant que Caroline venait de me sauver la vie, qu’elle venait de m’empêcher de mourir, qu’on venait de se retrouver, je ne savais plus quoi faire. Il était clair que ma place était auprès de Tybalt, je le savais parfaitement, je l’aimais, oui je l’aimais d’un amour immuable il était tout pour moi mais Caroline était tout aussi importante à mes yeux.

Elle était la fille que j’aimais que j’avais aimé d’une force immense, que j’avais aidé lorsqu’elle devait réapprendre à marcher, alors que nous avions eu cet accident. Nous étions là dans cette rue, nous allions nous séparer, je devais partir, je devais rejoindre Tybalt avant bien même qu’il ne s’inquiète et qu’il puisse me voir là dans cette rue avec elle. Avec ma meilleure amie. Je ne voulais pas qu’il apprenne pour le zombie je ne voulais pas qu’il sache que j’aurais pu à nouveau mourir ou me faire tuer… J’étais un cas, j’étais une idiote qui agissait simplement sous l’impulsivité… C’était bien connu. « Je n’ai pas de réponse… Je n’ai même pas de solution, faire avec surement… A moins que… » La serrant dans mes bras je ne cessais de la serrer contre moi alors que Tybalt était là, il était là, il me regardait, il c’était stoppé au milieu de cette rue nous regardant comme si nous étions des extraterrestres. Oui nous devions être ça, il devait surtout être choqué de me voir hors de la voiture, déçu, oui déçu que je puisse lui désobéir. Passant ma langue sur mes lèvres je soufflais longuement en lâchant quelque peu Caroline en lui murmurant alors qu’il était là. Tybalt était là, l’homme de ma vie. La prenant par la main je l’entrainais avec moi alors vers lui pour les présenter, mon cœur battait la chamade, je n’aurais jamais cru vivre cela un jour je n’aurais jamais cru que Tybalt puisse connaitre Caroline, elle que je croyais morte depuis trois ans. Tenant fermement sa main, je la lâchais tout aussi rapidement pour me jeter dans les bras de Tybalt le serrant fortement en embrassant son cou. Toute contente de le voir de le sentir, d’avoir son corps contre le mien je souriais de plus belle le lâchant en lui présentant alors Caroline tout en retournant vers elle la prenant dans mes bras. « Ravis de voir que tu en v … En un seul mor … Enfin que tu vas bien au vu des circonstances actuelles ! Et ravis de te connaître … » Haussant un sourcil, je regardais Tybalt sans trop comprendre sa façon de parler. Pourquoi parlait-il ainsi ? Pourquoi agissait-il ainsi ? Entendant le rire de Caroline je tournais un regard vers elle sentant ses lèvres sur ma tempe. Ok, la c’était bizarre… Que se passait-il ? Est-ce que... Est-ce qu’ils se connaissaient ? Est-ce qu’ils ne s’aimaient pas ? J’avais l’impression d’assister à un mauvais film. « Ravis de te connaitre, ravis que tu sois là pour elle… » Me tournant vers elle, je n’y comprenais plus rien, mais que se passait-il ? Pourquoi… J’avais envie de hurler il se passait quelque chose, aucun des deux n’avaient l’air ravis… « En d’autre circonstance je t’aurai menacé de castration si tu lui faisais le moindre mal… »

Voyant son clin d’œil je me mis à sourire nerveusement. Là je n’y comprenais plus rien. Pourquoi ? Tournant le regard vers Tybalt je lui lançais un regard incompris. Je ne comprenais vraiment plus rien. A croire qu’ils étaient tous les deux… Jaloux ? Jaloux l’un de l’autre ? Mais… pourquoi ? C’était puéril et pathétique… Entrouvrant la bouche je tournais un regard vers Caroline. « Mais ce n’est pas le cas… C’est chouette, que tu sois là… » Son rire me fit bizarre comme si elle se forçait. Je ne comprenais plus rien, enfouissant mes mains dans ms poches de jean je passais ma langue sur mes lèvres en regardant Tybalt sourire nerveusement. Ma voix elle c’était totalement coupait. « Alors vous vous êtes retrouvées ! C’est … wow … C’est génial hein !? Après tout ce temps il y avait une chance sur … Des millions ! » Il était triste, il était triste car j’avais retrouvé quelqu’un et lui personne, voilà ou était le problème et il avait peur que je le lâche pour rester avec Caroline… Oh… Non ça jamais… Non ma place était au près de Tybalt pas de Caroline… Je l’aimais certes mais… Mais Tybalt passait avant tout. Les bras de Caroline me prirent contre elle, je n’avais rien dit, rien fait depuis trop longtemps, mon regard plongeait dans celui de Tybalt je le regardais sans comprendre, les yeux remplit de larmes je posais ma main sur l’épaule de mon amie en fermant les yeux. « Il est jaloux. » Ouvrant les yeux, je regardais à nouveau Tybalt. « Je sais. » murmurais-je doucement d’une voix coupée. J’aimais qu’il soit jaloux, mais je savais qu’il était aussi triste de voir que moi j’avais quelqu’un et que lui il n’avait personne j’étais tout ce qui lui restait et je ferais tout pour ne pas le perdre, j’en mettais ma parole en jeux. Il était temps que j’apprenne a me battre, pour nous pour lui pour l’amour que je lui portais. « Se retrouver pour se quitter. Mon frère va finir par me croire morte, ça lui fera les pieds de me revoir, idem pour Ezeckiel. Je vais… On a eu de la chance poulette… » Sa main sur ma joue je souriais faiblement en tournant le regard vers elle.

« … De se retrouver, mais on doit… T’es en sécurité, c’est tout ce qui compte… » Souriant doucement je caressais sa joue en reculant lentement laissant tomber lentement ma main sur mon corps filant aux côtés de Tybalt. Attrapant sa main je la serrais fortement en caressant le dos de sa main de mon pouce me collant contre lui. « Oui, je suis en sécurité avec Elli, crois moi, ne te fais pas de souci pour moi Line. On s’entraide mutuellement avec Elli, bon il bosse plus que moi je le reconnais mais, c’est avec lui que je vais… Je suis désolée, se voir et se reperdre… » Soufflais-je doucement en serrant de plus belle la main d’Elli. Je l’aimais atrocement, je l’aimais à en crever comme jamais… Je ne pouvais pas et ne voulais pas le quitter. « On se reverra je te le promets, quand j’en sais rien, mais peut être à la zone, si tu croise Tybalt alors je ne suis pas bien loin ! » dis-je en souriant doucement. Les larmes aux yeux je détournais le regard vers Tybalt, croisant son regard azur. Sans m’en empêcher je le pris dans mes bras embrassant sa joue avec douceur, enfouissant mon visage dans son cou. « Tu sais que je t’aime, ça sera toujours toi. Toi et rien que toi Tybalt, on est soudée je ne t’abandonnerais jamais et tu ne me perdras jamais » murmurais-je pour que lui seul m’entende. Me reculant je lui soufflais un je t’aime sans voix sachant qu’il comprendrait. Me tournant vers Line je ne savais plus quoi faire, devions nous partir ? Devais-je la regarder partir ? J’étais totalement perdue.
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J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... _
MessageSujet: Re: J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite...   J & C ♦ Quand deux brunes se retrouvent dans un endroit insolite... Icon_minitime

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