L'HISTOIRE DU PERSO
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Je suis née dans une famille de classe moyenne. Mes parents était très a l’aise avec leur moyen et ne s’empêchaient pas du tout de nous offrir souvent des cadeaux juste parce que ça leur tentais. Lorsque je suis née, j’avais déjà un frère. Je suis donc née la deuxième. Peu après moi sont arrivé ma sœur et un autre frère. J’ai vécu une enfance absolument extraordinaire entouré de mes deux frères et de ma sœur. Nous nous aimions tous, sans exception. Aucune discrimination. Bien sur, de temps en temps ils nous arrivaient de nous donner des coups, mais nous nous pardonnions immédiatement après. Nous ne restions jamais fâcher bien longtemps les uns envers les autres. Nous avons été à la même école et on trainait toujours les quatre ensembles. Nous n’avions donc pas d’amie a part nous quatre. En fait, nous ne voulions pas connaître d’autre personne. Nous étions trop attacher. Ce petit jeu a durer tout le primaire. Du moins, pendant tout le primaire que nous avons passé ensemble. Bientôt mon frère le plus vieux est partie pour aller au secondaire alors y ne restais plus que moi, ma sœur et mon frère. Mais nous restions quand même solidaires. Bientôt, ce fut mon tour d’aller au secondaire. Et c’est la que nos chemin se sont un peu éloigner.

Bien sur, lorsqu’on arrive au secondaire tout change. On pense qu’on est rendu vieux et tout alors on change de comporte. C’est ça que j’ai fait et c’est ça que ma sœur et mes frères ont fait aussi. Nous avons donc trouvé d’autre personne avec qui s’amuser. Nous nous sommes trouver nos ami(e)s a nous et nous nous voyions seulement a la maison. De mon côté j’ai eux beaucoup de chum. Je ne les comptes même plus. Il était évident que j’avais beaucoup de charme et je m’en suis vite rendu compte et j’ai mit tout ça a profit. C’était même rendu que je désespérais mes frères et ma sœur. Mais que voulez vous que je fasse? J’étais faite ainsi. Mais malgré tout, je gardais toujours mon côté jovial et totalement heureuse. Il était extrêmement rare de me voir avec aucun sourire sur le visage. Il y en avait toujours un qui y était accroché. Ma famille pensait peut-être que j’étais une petite ‘’pute’’, mais je restais quand même souriante. J’étais comme un peu la princesse de l’école si on peu dire. Un jour, un de mes amis ma inviter à aller jouer au jeu vidéo avec lui. Au début, je pensais que ça l’allait être ennuyant pour mourir. Mais des que j’ai commencé à jouer, j’ai totalement adoré. Il avait mit un jeu vidéo ou il fallait tuer des zombies et les massacrer. A partir de son jour, je n’est plus arrêter de m’amuser à tuer des zombies. Pas que ça me passionnait, mais j’adorais vraiment ça. Je n’aurais jamais imaginé que j’aimerais tuer des zombies.

C’est lors de mon secondaire 3 que j’ai vraiment réaliser que j’exagérais trop avec mon caractère. A force de me faire plein de chum j’étais passé a côté de mes frères et sœur. Je les voyais pratiquement plus. Je commençais à m’ennuyer du temps ou on s’amusait ensemble et qu’ont avait personne d’autre comme ami(e)s. J’ai donc changé d’attitude et je me suis de nouveau rapprocher de mes frères et de ma sœur. Tout comme moi, ils étaient heureux de retrouver la Melinda d’avant. Je me suis donc rapprocher d’eux, mais j’ai quand même gardé d’autre ami(e)s. Arriver en secondaire 5, je savais qu’il fallait que je fasse un choix de métier. Mais j’en avais absolument aucunes idées. J’étais certaine que l’idée me viendrait après le secondaire. J’avais donc décidé de prendre une année de repos et de ne pas aller au cégep immédiatement. J’ai fait mon bal de fin d’année et tout a été extrêmement bien. J’ai eu de merveilleuse note à mon bulletin et tout allait bien.

Finalement, je n’est pas seulement prit une année de repos, mais je n’est pas été a l’école jusqu'à mes 18 ans. Jusqu'à temps que j’atteigne cet âge, je n’avais absolument aucune idée de ce que je voulais faire dans la vie. C’est lorsque je me suis mise à sortir dans les bars que j’ai été fasciné et attirer par le métier de barmaid. La façon donc il manipulait les bouteilles, j’adorais ça. Et surtout que j’adorais l’alcool. J’ai donc repris mes études à l’âge de 18 ans dans le bus d’aller faire barmaid comme métier.

J’ai donc faite toute les années nécessaires et une fois de plus, j’ai tout passé avec succès. Je me suis donc empresser de trouver un travail pour tout mettre en application. Bien sur, comme au secondaire, j’ai eu beaucoup de chum mais je ne me suis jamais mariée ou fiancé. Pas tout de suite je n’étais pas prête. De toute façon, mes chums me duraient environ 6 mois, un an.

Tout a continué ainsi jusqu'à la fête de mes 24 ans. Ma famille avait décidé de m’emmener magasiner dans un immense centre commercial pour ma fête. Par la suite mes parents m’avaient dit qu’il m’emmènerait manger au resto et tout. J’étais heureuse de faire une journée comma ça avec ma famille. Je m’entendais très bien avec eux même si maintenant on avait pratiquement tout notre propre mode de vie. Mais je me rappelle d’un moment en particulier. Ont étaient dans un magasin de robe sexy et on s’amusait à déconner un peu. Ma sœur m’avait alors montré une belle robe et m’avait demandé de l’essayer immédiatement. Je m’étais donc empresser d’aller dans une cabine d’essayage pour essayer la magnifique robe. Mais pendant que je la mettais, j’entendais des cris à l’extérieur de la boutique d’essayage. Mais je n’y portais pas trop attention. J’étais sur que c’était encore ma famille qui s’amusais à crier et a déconner dans le magasin. Mais lorsque j’entendis des cris encore plus fort, mais vraiment de terreur, je sortie de la cabine rapidement même si j’étais seulement habiller d’une petite robe courte.

Le spectacle qui s’offrir alors à moi me traumatisa légèrement. J’avais pris le temps de regarder le tout. Et j’avais bien remarqué que des zombies se trouvaient dans le magasin et que la plupart des gens qui y était avant était tous écraser contre le sol du magasin. Mais c’était censé juste se produire dans des jeux vidéo c’est scène la non!? J’ai premièrement capoté. Je ne savais pas quoi faire. Je respirai donc calmement et je me rappelai ce qu’il fallait que je fasse dans mon jeu vidéo préférer. Ne pas faire de bruit était l’essentiel. Il ne fallait pas attirer l’attention du zombie trop rapidement. Par la suite, il fallait foncer sur lui et le tabasser jusqu'à temps qu’il ne bouge plus. C’est donc ce que je m’empressai de faire. Je pris le premier long support que je voyais et m’en équipai. Je fonçai alors sur le premier zombie que je vis. Je ne me rappelle plus trop qu’es que je lui es fait, mais je sais que je l’avais tuer. Lorsque je rabaissai le regard pour voir le corps du zombie, je remarquai qu’il avait massacré ma famille. Des larmes coulèrent immédiatement sur mes joues. Tout ça était venu si subitement. Mais lorsque je me retournai, je remarquai deux autres zombies dans le fond du magasin entrain de manger des humains. Pleine de colère, je fonçais sur eux et les massacra a leur tour. Mais je savais aussi très bien que lorsqu’un humain est mordu par un zombie, il le devient à son tour. Sans me retourner, même si j’avais extrêmement de peine, je quittai le centre commercial avec la robe sur le dos et me rendis jusque chez nous. Tout ça me semblait tellement irréel, mais le tout l’était. Je ne savais plus quoi faire. C’est seulement rendu chez nous que je m’écroulai contre le sol et que je commençai réellement à pleurer toute les larmes de mon corps.

Mais plus le temps avançai, et plus je prenais un malin plaisir à tuer tout les zombies que je rencontrais. Et plus le temps avançait, et plus il y en avait. Mais je voulais venger ma famille. Et je les vengeais a tuer tout les zombies que je croisai. Parfois même, c’est moi qui les cherchais. Mais bon, j’appris vite à me débrouiller seule. J’avais volé plusieurs armes et plusieurs couteaux. Mais j’avais surtout pris mon arme favorite que j’utilisais toujours dans mon jeu vidéo. Un shotgun. Mon préférer. Je m’étais aussi beaucoup équipé en balle pour être sur de ne pas en manquer.

Je vis donc un bon bout de temps, je dirais environ 1 an et demi à vivre seule et à me débrouiller comme ça. Mais un jour, lorsque je faisais une ronde pour essayer de trouver un zombie ou plusieurs, je croisai la route d’un homme. Il était apeuré parce qu’il se faisait pourchasser par des zombies. Je n’hésitai donc aucune secondes et tua tout les zombies qui le pourchassaient avec une grande joie qui paraissait beaucoup. Au début il me prit pour une folle, mais il me remercia rapidement de l’avoir aider. Mais plus je le regardais et plus j’éprouvais de la sympathie pour lui. Je ne pouvais pas le laisser tout seule. Je le pris donc avec moi et je lui appris plusieurs choses. Il fini par être capable de se débrouiller seule et il tuait maintenant plusieurs zombie. Il faut dire que j’étais fière de lui.

Nous avons passé environ 1 ans ensemble et nous nous étions lier quand même assez. Nous étions inséparables. Mais un évènement nous a fait nous séparer. Une journée, j’étais partie chercher d’autre balle pour les fusils puisqu’il nous en manquait un peu et que je faisais toujours des réserves. Lorsque je suis revenue, il y avait une bande d’environ 30 zombies autour de notre cachette. J’entendais des cris de douleur. Des cris qui resteront a jamais marquer dans ma tête. Mais j’avais de l’expérience et je savais que je ne pouvais plus rien pour lui. Je savais aussi qu’il ne serait pas intelligent de s’en prendre à environ 30 zombies a la fois, surtout que je n’étais pas au sommet de ma forme. Avec un grand regret et immensément de peine, j’ai reculé et j’ai partie en sens inverse dans le but de me trouver une autre cachette. C’est donc pour cette raison que j’ai maintenant changé de caractère et que je garde mes distances. J’ai peur qu’il se reproduise la même chose. Je prends donc mes distances et j’essais de faire fuir les gens en étant méchante si on veut.

Pendant le reste du temps jusqu'à aujourd’hui, je suis restez cacher dans la même cachette, mais toujours en tuant des dizaines et des dizaines de zombies. C’est devenu ma passion quoi. Le nombre de zombie tuer est même rendu incalculable tellement il y en a.